Cash investigation d'Élise Lucet,

on apprend que Micro$oft a signé un contrat de 120 millions d'€
avec notre ministère de la défense nationale, pour pas moins
de l'équipement de 201.500 ordinateurs et de 13.000 serveurs,
malgré l'opposition de bien des officiers.
C'est le directeur de l'informatique de la défense nationale qui
a pris la funeste décision et a eu le dernier mot.

"Cerises sur le gâteau" :
1] Les systèmes Windows sont faits pour transmettre à la NSA et au PRISM,
tout ce que font les employés de la défense nationale française.
Un ingénieur (sous Linux) a réussi a prendre totalement le contrôle 
d'un poste sous windows-7 et de pouvoir télécharger tous documents 
aisément et comme bon lui semble.

2] Le contrat a été signé avec Microsoft-Irlande, permettant à la firme
de payer sur ce juteux contrat que quelques kopecks d'impôt à Bercy.
(merci Mr Micron).

Yves le Drian, ministre de la défense, s'est éclipsé de tous commentaires 
sur ce sujet.

La Défense française "est donc maintenant pieds et poings liés" à Microfoft 
et aux États-Unis.

L'émission a quand même cité les avantages de Linux, du logiciel Libre
et de leur sécurité, sous entendant clairement que notre armée aurait 
dû faire comme la gendarmerie.

Dormez, dormez tranquille braves gens, tout va bien :-)

André

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