mercredi 18 juillet 2018, à 11:11:28 CEST, Pierre Chevalier a écrit :
> > N’étant pas matheux,
> 
> Désolé. Ça peut s'arranger: il y a des formations pour ça, rien n'est
> jamais désespéré.
Encore faut-il en avoir le temps, et surtout l’envie. Je préfère me consacrer à 
la musique et à la 
typographie. :-)

Quant à l’écriture inclusive, je suis étonné de voir à quel point certain·e·s ¹ 
s’empressent 
d’adopter un machin lourdingue et impraticable de manière systématique sans 
devenir 
frappadingue, alors qu’ils·elles sont les premiers·ères à rugir quand on parle 
de rectifier 
quelques anomalies orthographiques comme le « i » d’« oignon », le « ph » non 
étymologique de « nénuphar » ou quelques accents circonflexes…

Dans un cas, il ne s’agit que de reprendre le mouvement réformateur du français 
écrit, 
bêtement interrompu au 19e siècle (en gros) ; de l’autre, de torturer le 
français écrit sur la 
base d’une idéologie made in USA, avec concepts importés et mélange des genres 
² 
(grammaire et sexe).

Au·À la revoir·oyure !

Thomas Savary
Le Grand Plessis
F-85340 L’Île-d’Olonne
Tél. 06 22 82 61 34
www.correctionpro.fr
www.compo85.fr

1. Il (bientôt il·elle ? ) faut savoir parler la langue de l’adversaire, si 
l’on veut se faire entendre 
de lui·d’elle.
2. Oui, je postule au titre de roi des calembours minables.
>
> 
> > Bonne journée !
> 
> Elle le sera, assurément, merci de me l'avoir éclairée!
> 
> À+
> Pierre


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