Bonsoir, Il vaut mieux éviter livrer en Lx monobrin car ils se vendent par paire et si le Lx du point A tombe, il faut changer la paire donc intervenir au point B, et s il y a des accès différenciés c est plus long compliqué et si le point B dépend d un tier il faut qu il intervienne. Cordialement, EM
Envoyé de mon iPad Le 1 nov. 2013 à 14:41, "Jérôme Nicolle" <jer...@ceriz.fr> a écrit : > Plop, > > Je bosse en ce moment avec quelques intégrateurs pour développer un > système de pré-câblage de corridors. J'aimerais avoir votre avis sur ce > que je souhaite mettre en place. > > L'idée est d'avoir une connectique standard pour la distribution entre > les baies, et qu'elle soit la plus compacte possible pour garder de la > place en chemins de câbles pour évolutions futures. > > L'idée part du constat que les breakouts sont volumineux, relativement > chers, et que câbler à la demande allonge les délais de mise à > disposition des baies, en plus de coûter plus de main d’œuvre. > > A contrario, le pré-câblage augmente le CAPEX de la salle, et il doit > être le plus contenu possible pour que la démarche soit intéressante. > > Les specs initiales sont les suivantes : > - Distribution en monomode G.652d (voir G.657a) uniquement > - Deux MMR aux extrémités (ou distantes) de chaque corridor > - 12 brins entre chaque baie et chaque MMR > - Connectique SC-APC pour permettre tous les usages avec le moins de > perte possible > > Pour avoir des coûts les plus contenus possibles, je suis parti sur des > références standard utilisées notamment en FTTH. Le système de référence > en la matière est le Home PACe d'Acôme. Il repose sur des câbles "loose" > dans lesquels les micro-tubes (en modules de 4 à 12 fibres) peuvent > coulisser librement. Ces câbles sont prévus pour la desserte verticale > en habitât collectif, et sont dispos en longueurs standard de 50m, > pré-connectorisés en SC-APC d'un côté. > > Lors de l'installation, une fenêtre est ouverte à chaque étage et un > boitier est fixé sur le câble pour y épanouir les tubes en drop. Les > tubes de l'étage N-1 sont coupés et récupérés dans la fenêtre précédente. > > On peut pousser le concept en ouvrant donc une fenêtre par baie et > dropper un tube est et un tube ouest d'un câble pré-connectorisé aux > deux extrémités. Avec un câble déroulé à plat, il semble possible de > récupérer les longueurs de tube nécessaires à chaque baie en renvoyant > les longueurs de tube depuis les extrémités du corridor. > > A première vue, ce système reviendrait à 30% de moins que la somme des > breakouts nécessaires pour la même connectivité, en occupant 16 à 20 > fois moins de place en chemins de câbles. > > A la descente en baie, il semblerait optimal de fusionner les tubes en > tiroir pour sortir sur pigtails. Pré-connectoriser à cet endroit est > trop complexe pour l'instant. Les tiroirs auraient donc deux cassettes > compactes de 12 fusions, 24 positions en façade, et une rangée de 12 > positions centrale, non accessible sans ouvrir le tiroir, de façon à > loger les pigtails en attente (pas encore commandés par le client) et > surtout à effectuer les mesures beaucoup plus rapidement. En restant > face à face dans des traverses, ces pigtails seraient naturellement > protégés, plutôt mieux que s'ils étaient en traverses bouchées en façade. > > Sur cette piste, on a posé les constats suivants : > - Le délai de mise en service d'un patch est réduit à quelques heures au > lieu d'une semaine (délai d'appro des breakout dans notre contrée > reculée du sud-ouest) > - Cette mise en service prend 30 m/h au lieu d'environ 2 h/h pour la > mise en place du câble breakout au cas par cas, à au moins 35€/h chargé > du tekos de DC. > - En cas de tube endommagé, si on ne peut pas réparer au niveau du > tiroir, alors il faut remplacer par un breakout. Ou bien prévoir des > tubes surnuméraires dans le câble pour les repiquer au cas par cas. > - Tous coûts mis bout à bout, le système devient rentable face au > breakout à partir de 30% des baies dans lesquels on livrerait au moins > une paire vers chaque MMR. > > Reste quelques questions : > - Quel est le bon nombre de fibres par lien entre baie et MMR ? 6 ? 12 ? > 24 ? > - Est ce qu'on peut faire l'impasse sur la multimode ou est ce qu'un > pré-câblage mixte est souhaitable ? (dépend de l'environnement du DC > bien-sur, là il a quand même une vocation orientée telco plus que IT au > moins dans la première salle) > - La plupart des salles proposant des MMR patchent en SC/PC. Est ce que > l'APC fait une grosse différence pour vous ? > - Avec une distance moyenne de 65m entre chaque baie et chaque MMR, avec > 4 connecteurs et deux points de fusion sur le chemin, du 10G-LR aurait > en théorie besoin d’atténuateurs. En utiliseriez-vous ? > > Et, de façon plus générale : > - Le cuivre c'est le mal. Mais est ce qu'on peut sérieusement faire > l'impasse dessus, en dehors de câbles entre deux baies adjacentes ? > - Le standard de livraison de services en gigabit est le LX. Mais les > optiques BiDi ne coûtent plus grand chose. Comment réagiriez-vous à une > livraison BiDi (TX 1310, RX 1490) ? Si ça peut se généraliser, alors > réduire le nombre de fibres en pré-câblage est plus évident. > > @+ > > -- > Jérôme Nicolle > 06 19 31 27 14 > > > --------------------------- > Liste de diffusion du FRnOG > http://www.frnog.org/ > > > Ce message a ete controle par le service leader de filtrage de messagerie > e-securemail de SECUSERVE , et est garanti sans virus. > Si le contenu de ce message vous semble ne pas correspondre aux regles > d'usage de votre entreprise (SPAM, virus, ou contenu inaproprie),ou si vous > recevez ce message par erreur, merci de le transmettre a votre Service > Informatique ainsi qu'a s...@security-mail.net . > --------------------------- Liste de diffusion du FRnOG http://www.frnog.org/