Dedaigner les assassins, denoncer lelite qui a pille nos ressources,
exclure ceux et celles qui jouerent un role decisif dans les humiliations
subies par les ngero-africains, exiger que la lumiere soit faite sur notre
passe recent, cest faire preuve de responsabilite, dintégrité, damour pour
son pays mais aussi et surtout cest le choix le plus viable pour UNE
RECONCILIATION NATIONALE.
Suppôts de toutes les humiliations et crimes (crimes de sang, crimes
economiques), agents de toutes les opérations de répressions, idéologues de la
logique raciale qui soutend le régime mauritanien actuel qui est TOUJOURS a
dominante arabo-berbère, ces mauritaniens qui nous tympanisent et qui ne voient
en nous que des extrémistes sont à combattre jusque dans leur tombe.
En effet, laspiration légitime a légalité, au droit, à laccès aux
ressources, a léducation et le respect de la vie humaine sont DES VALEURS
INALIENABLES sur lesquelles reposent et doivent reposer tout processus de
RECONCILIATION NATIONALE. La, ou ces valeurs sont ignorées, banalisées et
bafouées, On est en droit de PRENDRE LES ARMES. Ce fut le cas en Europe de
lEst, en Afrique du Sud, au Mali (par une minorité Touareg). Aussi le fait que
des petits instruits et de petits racistes désapprouvent les revendications
légitimes ne doit ni nous détourner de lessentiel encore moins nous décourager
pour assumer pleinement notre devoir.
Nous devons être par exemple, exigeant pour que la lumiere jaillisse sur les
crimes commis en 1991. La question des crimes contre les militaires
negro-africains peut paraitre, chez les malhonnetes, comme un appel au
durcissement ; Au contraire elle permet de poser definitivement les bases
sures, vitales et fondamentales dune mauritanie largement dominee par la
justice. Ne pas resoudre cette question menacerait dangereusement la cohesion
fragile de nos communautes.
A regarder de prés, nous ne pouvons quêtre inquiet pour lavenir de ce pays.
Sidi Ould Cheikh, et sa majorité ne sont pas encore au service de ces enjeux.
Tout laisse croire, par un jeu discret et secret, relaye brillamment par des
taupes, que le régime ne trouve pas son INTERET à engager une démarche
nationale, concertée pour résoudre de tels problèmes. Il ne sert à rien de
décréter des LOIS, des Ordonnances. Dans une perspective réelle, logique de
réconciliation nationale, cest la responsabilité de tous qui devrait être
engagée pour trouver des solutions meilleures pour ou bien un Etat Unitaire ou
toute autre solution qui conviendrait aux mauritaniens pourvu que cette
solution passe aux cribles des débats avec tous les acteurs. Ainsi des partis
participeront pour envisager des solutions a court, moyen et long terme, la
société civile apporterait sa contribution pour aider à atténuer les
souffrances, les intellectuels feront de leur mieux pour apporter leur «input»
en
vue dun règlement juste, équilibre et durable. Lobjectif est rechercher une
solution acceptable pour vivre ensemble et pour repartir sur des bases claires.
Hélas, cela ne semble guère la solution envisagée par le régime de Sidi. Cest
cette logique ouverte, publique que chaque composante pourrait apporter sa
créativité, son humanisme et ses qualités intrinsèques pour enfin bâtir cette
Mauritanie Africaine et Arabo-berbère. Lhistoire est la pour nous rappeler que
quand les institutions dun pays deviennent incapables, cest la rue, en
général, qui fait la LOI.
Quon ne se trompe pas, tout ceci nous amène à affirmer «rien nest joue en
Mauritanie», tout est encore bien complique a cause de la mauvaise foi mise a
nu par nos très fameux et médiocres politiciens et par la cupidité de nos
instruits.
Adama NGAIDE dit Ibrahima. USA
Dedaigner les assassins, denoncer lelite qui a pille nos
ressources, exclure ceux et celles qui jouerent un role decisif dans les
humiliations subies par les ngero-africains, exiger que la lumiere soit faite
sur notre passe recent, cest faire preuve de responsabilite, dintégrité,
damour pour son pays mais aussi et surtout cest le choix le plus viable pour
UNE RECONCILIATION NATIONALE.
Suppôts de toutes les humiliations et crimes (crimes de sang, crimes
economiques), agents de toutes les opérations de répressions, idéologues de la
logique raciale qui soutend le régime mauritanien actuel qui est TOUJOURS a
dominante arabo-berbère, ces mauritaniens qui nous tympanisent et qui ne voient
en nous que des extrémistes sont à combattre jusque dans leur tombe.
En effet, laspiration légitime a légalité, au droit, à laccès aux
ressources, a léducation et le respect de la vie humaine sont DES VALEURS
INALIENABLES sur lesquelles reposent et doivent reposer tout processus de
RECONCILIATION NATIONALE. La, ou ces valeurs sont ignorées, banalisées et
bafouées, On est en droit de PRENDRE LES ARMES. Ce fut le cas en Europe de
lEst, en Afrique du Sud, au Mali (par une minorité Touareg). Aussi le fait que
des petits instruits et de petits racistes désapprouvent les revendications
légitimes ne doit ni nous détourner de lessentiel encore moins nous décourager
pour assumer pleinement notre devoir.
Nous devons être par exemple, exigeant pour que la lumiere jaillisse sur les
crimes commis en 1991. La question des crimes contre les militaires
negro-africains peut paraitre, chez les malhonnetes, comme un appel au
durcissement ; Au contraire elle permet de poser definitivement les bases
sures, vitales et fondamentales dune mauritanie largement dominee par la
justice. Ne pas resoudre cette question menacerait dangereusement la cohesion
fragile de nos communautes.
A regarder de prés, nous ne pouvons quêtre inquiet pour lavenir de ce pays.
Sidi Ould Cheikh, et sa majorité ne sont pas encore au service de ces enjeux.
Tout laisse croire, par un jeu discret et secret, relaye brillamment par des
taupes, que le régime ne trouve pas son INTERET à engager une démarche
nationale, concertée pour résoudre de tels problèmes. Il ne sert à rien de
décréter des LOIS, des Ordonnances. Dans une perspective réelle, logique de
réconciliation nationale, cest la responsabilité de tous qui devrait être
engagée pour trouver des solutions meilleures pour ou bien un Etat Unitaire ou
toute autre solution qui conviendrait aux mauritaniens pourvu que cette
solution passe aux cribles des débats avec tous les acteurs. Ainsi des partis
participeront pour envisager des solutions a court, moyen et long terme, la
société civile apporterait sa contribution pour aider à atténuer les
souffrances, les intellectuels feront de leur mieux pour apporter leur «input»
en
vue dun règlement juste, équilibre et durable. Lobjectif est rechercher une
solution acceptable pour vivre ensemble et pour repartir sur des bases claires.
Hélas, cela ne semble guère la solution envisagée par le régime de Sidi. Cest
cette logique ouverte, publique que chaque composante pourrait apporter sa
créativité, son humanisme et ses qualités intrinsèques pour enfin bâtir cette
Mauritanie Africaine et Arabo-berbère. Lhistoire est la pour nous rappeler que
quand les institutions dun pays deviennent incapables, cest la rue, en
général, qui fait la LOI.
Quon ne se trompe pas, tout ceci nous amène à affirmer «rien nest joue en
Mauritanie», tout est encore bien complique a cause de la mauvaise foi mise a
nu par nos très fameux et médiocres politiciens et par la cupidité de nos
instruits.
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