"Bluetouff a reconnu s’être baladé dans l’arborescence des répertoires
en remontant jusqu’à la page d’accueil, où il a constaté la présence
d’une authentification par login / mot de passe. /Fatalitas/. Dès lors,
Bluetouff a creusé sa tombe. En admettant cela, il a reconnu ce que le
parquet aurait été autrement incapable de démontrer : le caractère
frauduleux de son maintien. À la seconde où Bluetouff a compris qu’il
était dans un extranet dont la porte était fermée mais dont on avait
juste oublié de monter les murs autour, il commettait le délit de
maintien frauduleux dans un STAD."

QED.

Le 14/01/2016 20:52, Jonathan Leroy a écrit :
> Le 14 janvier 2016 à 20:12, David Ponzone <david.ponz...@gmail.com> a écrit :
>> C’est une blague ? :)
>>
>> A moins que les documents soient clairement identifiés comme 
>> confidentiel/secret défense, je ne vois pas comment on pourrait être 
>> responsable d’avoir cliqué sur un lien sur Google.
>> Et encore, si on voit qu’ils sont confidentiels, c’est qu’on les a ouverts, 
>> et donc c’est trop tard.
> Tout est très bien expliqué ici :
> http://www.maitre-eolas.fr/post/2014/02/07/NON,-on-ne-peut-pas-%C3%AAtre-condamn%C3%A9-pour-utiliser-Gougleu
>

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