Bonjour,

> Le 16 mars 2021 à 11:48, David Ponzone <david.ponz...@gmail.com> a écrit :
> 
> Aucune autre conséquence.
> Tu peux utiliser du publique comme si c’était du privé, faut juste éviter de 
> taper dans des IP de Google ou AWS.

Si tu n’as pas d’échange avec eux, ça ne sert à rien de les éviter. Tout comme 
le nombre de km n’a de la même manière rien à voir dans l’histoire. La question 
de base qui doit être posée est : as-tu en interne une IP publique que tu dois 
pouvoir joindre en externe ? certes le NAT gère le cas du plan de transfert, 
mais ça ne règle pas le routage interne au LAN !

Si tu as en interne une adresse publique d’un site web concernant « un truc qui 
semble pas important et qui est hébergé à l’autre bout de la terre » mais que 
tu as besoin d'accéder à cette page, bah ton routeur avant le NAT va te router 
en interne plutôt qu’à la destination à l’autre bout de la terre.

De la même manière, si tu as en interne des IP publiques d’une grande banque 
française à côté de chez toi mais que tu n’as jamais à échanger avec elle, 
alors pas de problème de routage dans ton LAN, tu iras bien vers ta Gateway etc.

À noter pour info (vu dans une entreprise du CAC40), l’utilisation de proxy 
Internet au niveau du NAT. Cela « tunnelise » le traffic jusqu’au boîtier NAT, 
les routeurs « LANs » n’ont pour rôle que de joindre le proxy et les 
utilisateurs, sans connaissance de l’extérieur. Cela demande de se creuser un 
peu sur l’archi réseau, rien d’insurmontable, mais niveau exploitation et 
évolutivité, c’est une autre paire de manche.

--
Greg

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