Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Le 10/09/2020 à 18:31, Jean-Baptiste Faure a écrit : Bonjour, Le 07/09/2020 à 23:13, Jean-Michel COSTE a écrit : Le 07/09/2020 à 19:19, Ocleyr2lalune a écrit : [...] Par contre, une nouvelle fonctionnalité, non décrite, c'est gênant. Il n'y a pas d'endroit où c'est publié ? Normalement dans les release notes que Pierre-Yves se donne la peine de traduire en français. Elles sont là : https://wiki.documentfoundation.org/ReleaseNotes On y a même un aperçu de ce que sera la 7.1 Merci ! -- Jean-Michel COSTE -- Envoyez un mail à discuss+unsubscr...@fr.libreoffice.org pour vous désinscrire Les archives de la liste sont disponibles à https://listarchives.libreoffice.org/fr/discuss/ Privacy Policy: https://www.documentfoundation.org/privacy
Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Bonjour, Le 07/09/2020 à 23:13, Jean-Michel COSTE a écrit : Le 07/09/2020 à 19:19, Ocleyr2lalune a écrit : [...] Par contre, une nouvelle fonctionnalité, non décrite, c'est gênant. Il n'y a pas d'endroit où c'est publié ? Normalement dans les release notes que Pierre-Yves se donne la peine de traduire en français. Elles sont là : https://wiki.documentfoundation.org/ReleaseNotes On y a même un aperçu de ce que sera la 7.1 Bonne journée JBF -- Seuls des formats ouverts peuvent assurer la pérennité de vos documents. -- Envoyez un mail à discuss+unsubscr...@fr.libreoffice.org pour vous désinscrire Les archives de la liste sont disponibles à https://listarchives.libreoffice.org/fr/discuss/ Privacy Policy: https://www.documentfoundation.org/privacy
Re: [fr-users] Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Bonjour Le mardi 08 septembre 2020 à 12:09 +0200, sophi a écrit : > Bonjour Thierry,Le 08/09/2020 à 10:28, Thierry Jeanneret a écrit : > > Bonjour Claire, > > Je ne vais pas reprendre point par point. > > Moi non plus, je saute donc au modèle économique : Merci de revenir à ce point. Justement, je n'arrive pas à voir ce qu'implique concrètement d'accorder une licence d'utilisation de la marque pour les entreprises de l'écosystème ? Cela signifie-t-il que le code restant ouvert, pour republier en tant que LibreOffice, il faut une licence d'utilisation ? Est-ce raccord avec les licences actuelles de LibreOffice ? Cela ne favoriserait-il pas le développement de fork (bien/pas bien ?) pour ceux qui n'ont pas cette licence d'utilisation ? > Comment les entreprise de l'écosystème vont réaliser ces > développementssans nouvelle version et sans être financées par leurs > clients ?Pourquoi les clients paieraient pour la correction de > bugs/régressionsqu'ils ne rencontrent pas ? Cela me fait penser à la question du support étendu (ou LTS). Aujourd'hui c'est bien la 6.4 qui peut être déployée en entreprise, mais on est en revanche quasi au bout des mises à jour correctives pour la 6.4. L'intérêt du support étendu que ces entreprises pourraient assurer (grâce à la licence d'utilisation ?) serait que leurs clients pourraient bénéficier de correctifs sur une 6.4 pendant plus longtemps (correctifs demandés par les dits clients). Il me semble nécessaire de définir la durée max de ce support étendu (n'est-ce pas déjà le cas, d'ailleurs ?) Cela devrait aussi impliquer (via la licence d'utilisation de la marque ?) que ces correctifs, soient également portés dans les versions plus récentes s'ils ne le sont pas déjà. Dans ce cas, les travaux pour les clients des entreprises parties prenantes LibreOffice, bénéficieraient à tous, dans la logique de l'open source. Enfin, quand un client demanderait un ajout de fonctionnalité, cela pourrait être en revanche conditionné à la mise en place sur une version récente (par exemple aujourd'hui la 7). Cela éviterait de cantonner les entreprises de l'écosystème à une maintenance de vieille version, et donnerait de l'intérêt à tous. Cela pourrait aussi aider sur la prise en charge de vieilles anomalies pas prise en charge car il y a un différentiel entre la version déployable en entreprise et celle qui fait l'objet de la majorité des développements à un moment t. Autant les changements de versions correctives doivent être assez "simple" à déployer en entreprise, autant un changement de version demande un peu plus de vigilance, il doit donc être moins fréquent. > Sauf qu'ici on ne parle pas du tiroir caisse de TDF mais de celui > deceux qui écrivent le code de LibreOffice. Quelle solution pour > obligerces entreprises à travailler pour TDF/LibreOffice plutôt que > pour leursclients ? Il y a l'idéal et la réalité, mais tu sous entend qu'on arrive à la situation ou le développement est quasi exclusivement porté par ces entreprises (et donc qu'il faut les "obliger" à travailler pour LibreOffice) ? Même si je l'ai lu attentivement le doc en question que tu as fourni il y a quelques jours, je suis restée sceptique, sur cette nouvelle entité "TDC". J'ai du mal avec le commercial à but non lucratif, le reversement, et les interactions décrites... Pourquoi faut-il une entité distincte pour gérer les applicatifs TDF (visionneuse Impress, Applis smartphone...) ? Comment se place DLP(Liberation Project...) là dessus ? Car c'est un projet moins connu, mais travailler sur l'interopérabilité, ce n'est pas rien, et les entreprises et particulièrement les administrations clientes pourraient justement avoir un intérêt sérieux sur le sujet Bonne fin de journée Claire -- Envoyez un mail à discuss+unsubscr...@fr.libreoffice.org pour vous désinscrire Les archives de la liste sont disponibles à https://listarchives.libreoffice.org/fr/discuss/ Privacy Policy: https://www.documentfoundation.org/privacy
[fr-discuss] Re: [fr-discuss] Re: [fr-users] Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Bonjour, C'est bien ce qui me chagrine, aucune structure qui aurait un impact direct emploi en France. C'est un constat, pas une critique, la proposition serait de voir par langue/pays comment faire. Il me paraît évident que LO exige un effort de fond, de la recherche et développement au sens entreprise, on voit les projets abordés en GSOC, qui ne seraient pour la plupart pas directement demandés par une entreprise mais qui participent au rayonnement du logiciel, à sa finition, à l'effet "wahouuu" qui parfois fait vendre. On a des structures en France d'utilité sociale, je ne suis pas spécialiste, donc je ne vais pas m'avancer plus, mais il me semble qu'on a quelques leviers, je travaille ou suis bénévole dans l'économie sociale et solidaire, on a arrive à avoir quelques budgets. Le problème est que trouver l'argent, c'est un métier de faire des dossier. Il faut répondre à des appels à projet nationaux ou régionaux, convaincre une région que c'est innovant et que ça mérite un support financier. Mais c'est possible. Bref, une démarche à initier. Après ce qui semble se vendre, c'est la démarche "plateforme", une suite d'outils dont la bureautique n'est qu'un élément. Cdt Régis Perdreau Le mar. 8 sept. 2020 à 17:42, sophi a écrit : > Bonjour Claire et tous, > Le 08/09/2020 à 14:41, Ocleyr2lalune a écrit : > > Bonjour > > > > Le mardi 08 septembre 2020 à 12:09 +0200, sophi a écrit : > >> Bonjour Thierry,Le 08/09/2020 à 10:28, Thierry Jeanneret a écrit : > >>> Bonjour Claire, > >>> Je ne vais pas reprendre point par point. > >> > >> Moi non plus, je saute donc au modèle économique : > > Merci de revenir à ce point. > > Justement, je n'arrive pas à voir ce qu'implique concrètement > > d'accorder une licence d'utilisation de la marque pour les entreprises > > de l'écosystème ? > > Cela signifie-t-il que le code restant ouvert, pour republier en tant > > que LibreOffice, il faut une licence d'utilisation ? Est-ce raccord > > avec les licences actuelles de LibreOffice ? > > Il faut distinguer la marque du code. Pour essayer d'expliquer > simplement : La marque LibreOffice est déposée et appartient donc à TDF. > Le code de LibreOffice est sous les licences MPL/LGPL et est donc ouvert > et réutilisable sous les conditions de ces licences, mais la compilation > de ce code fournie par TDF ne peut pas s'appeler LibreOffice s'il est > compilé ou modifié par une autre entreprise. > L'exception c'est lorsqu'il y a un agrément d'utilisation du nom de la > marque entre TDF et l'entreprise. Comme c'est le cas pour CIB et Collabora. > > > Cela ne favoriserait-il pas le développement de fork (bien/pas bien ?) > > pour ceux qui n'ont pas cette licence d'utilisation ? > > S'il n'y a pas d'agrément d'utilisation de la marque entre TDF et > l'entreprise qui fournit une suite LibreOffice, alors c'est un autre > produit qui doit porter un autre nom. Cela ne pause pas de problèmes si > c'est un fork assumé (chacun vit sa vie de son côté) c'est plus un > problème quand on utilise la notoriété de LibreOffice alors que la > version fournie n'a pas la même couverture fonctionnelle ou la même > vigilance sur la sécurité. > > > > > > >> Comment les entreprise de l'écosystème vont réaliser ces > >> développementssans nouvelle version et sans être financées par leurs > >> clients ?Pourquoi les clients paieraient pour la correction de > >> bugs/régressionsqu'ils ne rencontrent pas ? > > > > Cela me fait penser à la question du support étendu (ou LTS). > > Aujourd'hui c'est bien la 6.4 qui peut être déployée en entreprise, > > mais on est en revanche quasi au bout des mises à jour correctives pour > > la 6.4. > > L'intérêt du support étendu que ces entreprises pourraient assurer > > (grâce à la licence d'utilisation ?) serait que leurs clients > > pourraient bénéficier de correctifs sur une 6.4 pendant plus longtemps > > (correctifs demandés par les dits clients). > > Il me semble nécessaire de définir la durée max de ce support étendu > > (n'est-ce pas déjà le cas, d'ailleurs ?) > > Cela devrait aussi impliquer (via la licence d'utilisation de la marque > > ?) que ces correctifs, soient également portés dans les versions plus > > récentes s'ils ne le sont pas déjà. Dans ce cas, les travaux pour les > > clients des entreprises parties prenantes LibreOffice, bénéficieraient > > à tous, dans la logique de l'open source. > > Enfin, quand un client demanderait un ajout de fonctionnalité, cela > > pourrait être en revanche conditionné à la mise en place sur une > > version récente (par exemple aujourd'hui la 7). > > Pour répondre à toutes ces questions, c'est effectivement ce qui se > passe si l'on prend l'exemple de Collabora. Ils fournissent un support > LTS sur 3 ans qui peut être étendu à 5 ans. Les corrections apportées > sont reversées au tronc commun (TDF/LibreOffice). Les nouvelles > fonctionnalités (telles que le caviardage par exemple) ne peuvent être > implémentées que sur une version majeure (7.0 par exemple, la branche >
[fr-discuss] Re: [fr-users] Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Bonjour Claire et tous, Le 08/09/2020 à 14:41, Ocleyr2lalune a écrit : > Bonjour > > Le mardi 08 septembre 2020 à 12:09 +0200, sophi a écrit : >> Bonjour Thierry,Le 08/09/2020 à 10:28, Thierry Jeanneret a écrit : >>> Bonjour Claire, >>> Je ne vais pas reprendre point par point. >> >> Moi non plus, je saute donc au modèle économique : > Merci de revenir à ce point. > Justement, je n'arrive pas à voir ce qu'implique concrètement > d'accorder une licence d'utilisation de la marque pour les entreprises > de l'écosystème ? > Cela signifie-t-il que le code restant ouvert, pour republier en tant > que LibreOffice, il faut une licence d'utilisation ? Est-ce raccord > avec les licences actuelles de LibreOffice ? Il faut distinguer la marque du code. Pour essayer d'expliquer simplement : La marque LibreOffice est déposée et appartient donc à TDF. Le code de LibreOffice est sous les licences MPL/LGPL et est donc ouvert et réutilisable sous les conditions de ces licences, mais la compilation de ce code fournie par TDF ne peut pas s'appeler LibreOffice s'il est compilé ou modifié par une autre entreprise. L'exception c'est lorsqu'il y a un agrément d'utilisation du nom de la marque entre TDF et l'entreprise. Comme c'est le cas pour CIB et Collabora. > Cela ne favoriserait-il pas le développement de fork (bien/pas bien ?) > pour ceux qui n'ont pas cette licence d'utilisation ? S'il n'y a pas d'agrément d'utilisation de la marque entre TDF et l'entreprise qui fournit une suite LibreOffice, alors c'est un autre produit qui doit porter un autre nom. Cela ne pause pas de problèmes si c'est un fork assumé (chacun vit sa vie de son côté) c'est plus un problème quand on utilise la notoriété de LibreOffice alors que la version fournie n'a pas la même couverture fonctionnelle ou la même vigilance sur la sécurité. > > >> Comment les entreprise de l'écosystème vont réaliser ces >> développementssans nouvelle version et sans être financées par leurs >> clients ?Pourquoi les clients paieraient pour la correction de >> bugs/régressionsqu'ils ne rencontrent pas ? > > Cela me fait penser à la question du support étendu (ou LTS). > Aujourd'hui c'est bien la 6.4 qui peut être déployée en entreprise, > mais on est en revanche quasi au bout des mises à jour correctives pour > la 6.4. > L'intérêt du support étendu que ces entreprises pourraient assurer > (grâce à la licence d'utilisation ?) serait que leurs clients > pourraient bénéficier de correctifs sur une 6.4 pendant plus longtemps > (correctifs demandés par les dits clients). > Il me semble nécessaire de définir la durée max de ce support étendu > (n'est-ce pas déjà le cas, d'ailleurs ?) > Cela devrait aussi impliquer (via la licence d'utilisation de la marque > ?) que ces correctifs, soient également portés dans les versions plus > récentes s'ils ne le sont pas déjà. Dans ce cas, les travaux pour les > clients des entreprises parties prenantes LibreOffice, bénéficieraient > à tous, dans la logique de l'open source. > Enfin, quand un client demanderait un ajout de fonctionnalité, cela > pourrait être en revanche conditionné à la mise en place sur une > version récente (par exemple aujourd'hui la 7). Pour répondre à toutes ces questions, c'est effectivement ce qui se passe si l'on prend l'exemple de Collabora. Ils fournissent un support LTS sur 3 ans qui peut être étendu à 5 ans. Les corrections apportées sont reversées au tronc commun (TDF/LibreOffice). Les nouvelles fonctionnalités (telles que le caviardage par exemple) ne peuvent être implémentées que sur une version majeure (7.0 par exemple, la branche 6.4.x n'acceptant pas de nouvelles fonctionnalités, que des patchs correctifs). > Cela éviterait de cantonner les entreprises de l'écosystème à une > maintenance de vieille version, et donnerait de l'intérêt à tous. > Cela pourrait aussi aider sur la prise en charge de vieilles anomalies > pas prise en charge car il y a un différentiel entre la version > déployable en entreprise et celle qui fait l'objet de la majorité des > développements à un moment t. Sauf que cela ne fonctionne pas parce qu'il n'y a pas assez d'entreprises autour de LibreOffice qui participent comme Collabora. Et donc le support se fait sur ce dont a besoin leur client et cela laisse toute une cargaison de bugs et de régressions de côté. Les entreprises qui corrigent des bugs uniquement pour leurs clients, sans reverser au tronc commun rendent leur client, TDF et l'écosystème perdants. Les utilisateurs donnent à la Fondation et pas suffisemment aux entreprises de l'écosystème. C'est la réflexion qui est menée actuellement via le plan marketing. Et les questions que j'ai posées à Thierry sont pour appeler de vraies réponses. Ce modèle que nous avons construits depuis 10 ans montre des dysfonctionnements. La communauté ne va pas les laisser ainsi, nous tenons tous à la fondation et à ses valeurs. Mais il faut partir de la réalité de la fondation et de ses statuts, de LibreOffice et de l'environnement
Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Le 07/09/2020 à 19:19, Ocleyr2lalune a écrit : Il faudrait surtout voir sir les bugs et régression en question sont actifs, s'il y a beaucoup de personnes à avoir voté pour leur correction etc... A défaut de ne pas savoir corriger un bug, le confirmer me parait quelque chose de faisable quand on souhaite qu'il soit vraiment traité (c'est au minimum de ce que j'essaie de faire, sur ce qui me parait bloquant au moins). Sauf qu'on ne vote pas pour les bugs LibreOffice, on ne fait que les décrire. C'est sur OpenOffice qu'on vote et que ça semble avoir un impact. Désolé, mais un guide pas à pas pour réaliser quelque chose, c'est certainement plus efficace que la "pêche aux infos". Vécu. oui, peut-être aussi selon chacun. Je veux surtout dire par là que l'exhaustivité ne sera jamais atteinte dans un guide. Il a pour but de te donner les principes de fonctionnement globaux, pour chaque modules. Une nouvelle fonctionnalité ajoutée, ne mérite pas forcément d'être décrite dans un guide. Peut-être pas immédiatement, mais il y a un moment où il faut fixer les choses. Penser aux gens qui débutent ou qui ne suivent pas l'actualité. Je suis en train de traduire le guide BASE, et bien qu'utilisateur/formateur dans le domaine, j'y ai appris des choses. D'où l'intérêt que j'y porte... Par contre, une nouvelle fonctionnalité, non décrite, c'est gênant. Il n'y a pas d'endroit où c'est publié ? Là dessus, je me dis que l'effort de doc doit être collectif, et que si un jour je documente la chose pour le boutlot, il faudra que j'en fasse profiter la communauté. Et l'investissement est moins lourd qu'un guide. Je ne crois pas que ce soit aux utilisateurs de documenter les nouveautés. En revanche, documenter l'usage ("comment faire") oui, assurément. Bonne soirée -- Jean-Michel COSTE -- Envoyez un mail à discuss+unsubscr...@fr.libreoffice.org pour vous désinscrire Les archives de la liste sont disponibles à https://listarchives.libreoffice.org/fr/discuss/ Privacy Policy: https://www.documentfoundation.org/privacy
Re: [fr-discuss] Débat sur l'avenir de la suite
Le 07/09/2020 à 18:17, Ocleyr2lalune a écrit : j'ai l'impression qu'on arrive à une liste de demande de consommateurs Si ça va trop vite, qu'on veut quelque chose de stabilisé, alors on s'attarde sur la 6.4. C'est aussi un moyen pour laisser le temps qu'un certain nombre de correctifs passent sur la 7.0. Le problème, c'est que des régressions apparues avec la 6.2 sont encore présentes dans toutes les versions jusqu'à la 7. Pour apporter les améliorations nécessaires, stabiliser, il faut que les développeurs soient dispo. Sur des éditeurs pro, que ceux ci soient payés pour, sur des volontaires, sur des fonctions qui les intéressent et qu'ils sont à même de traiter Oui, mais il me semblerait logique que pour une régression, il me semble logique que celui qui l'a introduite (en apportant une amélioration ?) soit sollicité pour la corriger. Ce qui ne semble pas être le cas. je me rappelle de tes messages sur le passage de Firebird à HSQLDB pour une version précédente. Ce n'est pas l'inverse ? Se contenter de l'ooxml strict ne me choquerait pas Moi non plus !! Avec mon petit bout de lorgnette, je me dis que contribuer à la doc en ligne est peut être moins lourd que contribuer à la traduction des guides. Désolé, mais un guide pas à pas pour réaliser quelque chose, c'est certainement plus efficace que la "pêche aux infos". Vécu. Cordialement, -- Jean-Michel COSTE -- Envoyez un mail à discuss+unsubscr...@fr.libreoffice.org pour vous désinscrire Les archives de la liste sont disponibles à https://listarchives.libreoffice.org/fr/discuss/ Privacy Policy: https://www.documentfoundation.org/privacy