On 05/02/2013 01:02 PM, Jérôme Nicolle wrote:
Ou encore à un sender qui utilise plusieurs blocs d'IP (il les loue et
les change régulierement) pour envoyer ses mails (non sollicités en ce
qui concerne ceux que je reçois) en espérant passer sous les radars
(quelques centaines de mails envoyés par IP).
Si je comprends bien, toutes ces règles ne sont là que pour limiter
l'usage des ressources, apparemment trop limitées.

Si je vous comprends bien, si un sender veut patater à 10000 mails/s pour pouvoir envoyer la newsletter d'un de ses clients en moins d'une minute, il faut que la plateforme soit capable de suivre ?

Je suis d'accord avec le fait que vous ne puissiez pas contrôler le
volume en entrée, et que probablement 98% du volume soit de la merde.
Vous n'en êtes pas moins un simple intermédiaire technique et devez
accepter toute la charge sans discrimination.

Vous prenez le temps de reflechir avant d'écrire ? Là, avec 98% de merdes, le surdimensionnement atteint un facteur de 50. Soit 500 Netapp et 2000 serveurs là où 10 NetApp & 40 serveurs seraient nécéssaires pour les mails légitimes. Je suis curieux de vous voir justifier la mise en place d'une telle architecture pour pouvoir gérer les spams sans aucune discrimination.

Et que ferez-vous le jour où les "merdes" représenteront 99.9% du volume ? Quel est le ratio de surdimensionnement qui vous parait toujours acceptable ?

François


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