Bonjour,

Un mail retransmis de la liste de l'AFUL où l'on parle 
de l'Afrique et des problèmes de lisibilité des sites
web (en java, notemment).

Olivier


Stefane Fermigier a écrit :
> 
> Nous avons reçu ce mail, qui peut donner lieu à une collaboration
> intéressante si quelqu'un dans l'association est intéressé.
> 
>         S.
> 
> ----- Forwarded message from Robert Goedertier <[EMAIL PROTECTED]> -----
 
 J'ai apprécié l'accent que vous mettiez dans votre page
 <http://www.ful.ac.be/hotes/Amisterre/apropos.htm> sur l'universalité
 des formats de page web.
 
 Je m'intéresse notamment au problème de choix des formats de
 documents transmis sur Internet (tant par mail que sur des serveurs)
 et des techniques de réalisations des sites, de manière à les garder
 accessibles et utilisables à tous les utilisateurs, quel que soient
 les contraintes de leur environnement de communication ou de leur
 équipement. (J'en cite quelques aspects dans ma page
 <http://users.skynet.be/agpym/simplicite.html>).
 
 Au cours, par exemple, de mes séjours répétés chez mes amis
 Boliviens, j'ai eu amplement l'occasion de me frotter aux problèmes
 d'équipement et de télécommunications auxquels pouvaient être
 confrontés même des cadres dès qu'ils n'appartiennent pas à des
 organismes d'envergure. La course aux perfectionnements cosmétiques
 tant des sites www que des formats de documents attachés est une
 catastrophe dans leur environnemnt technique.
 La situation est encore pire en Afrique, où de vastes régions doivent
 se contenter du mail par Packet Radio (Bushnet).
 Lorsque je me suis permis de faire remarquer au webmaster d'un grand
 quotidien belge, pourtant attentif aux problèmes d'Afrique et
 d'Amérique Latine, que son site était inexploitable sans java, alors
 que les archives de l'excellent site du Monde Diplomatique restaient
 exploitables même par Lynx, je me suis fait pratiquement traiter
 d'incompétent.
 
 Je suis à la recherche de gens intéressés par l'étude de ce problème
 et la promotion de "bonnes pratiques" pour la diffusion de
 l'information, ou de sites et de forums traitant de ces questions;
 pourriez vous m'aider à en trouver. Il semble que certains services
 des affaires étrangères auraient des guidelines en la matière, mais
 elles restent confidentielles, et même les ONG semblent n'avoir pas
 de politique systématique.
 
 Avec sympathie,
 
 Robert Goedertier
 ancien Chargé de Cours à l'Université de Kinshasa




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