Re: RE : Re: [debutant] DADVSI , mes conclusions

2006-08-02 Par sujet Mary didier



Leneant a écrit :

Bonjour,

Et celà pourrait même avoir les effets inverses de ceux escomptés :

http://www.ratiatum.com/news3447_Vive_le_quasi-monopole_de_l_iPod.html

Bonne lecture.

Cordialement.

Pascal.
  


mouais, ça enlève pas le monopole d'un constructeur ce truc quand même, 
suis très septique sur ce coup là. pi y en a mare du mp3 gggr ;-)
=
Vous souhaitez acquerir votre Pack ou des Services Mandriva?
Rendez-vous sur http://store.mandriva.com;.
Rejoignez le club mandrake : http://www.mandrivaclub.com
=


Re: RE : Re: [debutant] DADVSI , mes conclusions

2006-08-02 Par sujet Marc Siramy
merci pour le lien.

je n'ai guère le temps de commenter ce lien, toutefois j'en recommande
vivement la lecture :
http://www.covertprestige.info/2006/08/01/68-pour-herve-rony-la-culture-serait-elle-un-bien-comme-un-autre
?
--
marc

Leneant wrote:
 Bonjour,
 
 Et celà pourrait même avoir les effets inverses de ceux escomptés :
 
 http://www.ratiatum.com/news3447_Vive_le_quasi-monopole_de_l_iPod.html
 
 Bonne lecture.
 
 Cordialement.
 
 Pascal.
 --- Mary didier [EMAIL PROTECTED] a écrit :
 
 

Marc Siramy a écrit :

Bonsoir,



Puisque la loi DADVSI impose l'installation de DRM sur nos ordinateurs,
 l'initiative Open DRM de Sun ( http://www.internetactu.net/?p=6410 )
vaut sans doute la peine d'être soutenue pour deux raisons :
- le fait que le code soit ouvert laisse la possibilité à chaque
citoyen de pouvoir contrôler quelles informations personnelles sont
prélevées sur sa machine,
- le code est gratuit, et donc le financement des DRM prévu par le
gouvernement n'est plus justifié (rappelons que le gouvernement
projette de financer les DRM via une taxe sur le tabac).

Selon l'article, [les] abonnés du câble ont une clé qui leur permet
de recevoir des émissions.
Que ce système de clé réponde ou non au principe que j'ai rappelé
précédemment (et déjà brillament exposé par Isabelle), il s'agit là
encore d'un mécanisme d'encodage et de cryptage de données.

La manière de faire cette guerre est stupide. Qu'un DRM soit présent
ou non au sein d'une oeuvre numérique, il faut bien que cette oeuvre
soit décodée pour pouvoir en prendre connaissance. Or une fois
l'oeuvre décodée, il sera toujours possible de contourner le DRM, ne
serait ce qu'avec un caméscope numérique.
Si j'oubliais: les DRM ont un intérêt (du moins les DRM propriétaires) :
tuer les logiciels libres multimédia, mais cela n'a jamais fait nul doute.

Or, me semble-t-il, les auteurs ou autres titulaires de droits voisins
ont le libre choix d'imposer toute mesure de protection destinée à
préserver leurs droits.
Nul doute que ceux-ci s'opposeront aux DRM open-source.


Le fait que l'absence de définition du terme interopérabilité est
conduit à la suppression du droit à l'interopérabilité est certes
affligeant. Cependant il revenait au Conseil constitutionnel d'enlever
à la loi ses impuretés selon Philippe Aigrain (
http://paigrain.debatpublic.net/ ).
Donc le CC a bien fait son travail. Bien entendu. A moins que le CC
ait quelque pu perdu la raison.

Cela expliquerait peut-être ce que j'ai découvert aujourd'hui :
Il avait été souligné à l'Assemblée Nationale, le 29 juin 2005,
l'absence de définition du terme logiciel dans les textes :
Notons cependant qu'il n'existe pas de définition des logiciels ou
des programmes d'ordinateur dans les textes nationaux, européens ou
internationaux régissant la propriété intellectuelle. Cette absence
peut s'expliquer par la volonté de ne pas figer une définition
susceptible d'évoluer en fonction de la technique. (
http://www.assemblee-nationale.fr/12/europe/rap-info/i2426.asp ).

Cette absence de volonté se manifeste aussi je crois lorsqu'il s'agit
de définir les DRM / MTP.
Aussi, pourquoi le CC déclare-t-il que le terme interopérabilité est
inconstitutionnel quand dans le même temps, il ne remet en cause ni la
définition du terme DRM, ni celle du terme MTP, ni celle du terme
logiciel ?
Et aussi, pourquoi donc la notion de travail collaboratif paraît
elle floue aux yeux du CC alors que ce terme semble depuis longtemps
entré dans les usages ?

Et surtout, forts de ce constat, que peut on faire ?

--
Marc
  

cherche pas a comprendre, tout était écrit d'avance fallait que ça 
passe d'une manière ou d'une autre, alors c'est sur que justifier la 
mauvaise foi ça devient compliqué lol ça entraîne qqs incohérences 
forcément




--
Pour toute commande au robot de la liste, adressez vous a [EMAIL PROTECTED]
Copyleft Attitude : http://artlibre.org
Archives et administration : http://www.april.org/wws/

  


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=
  
=

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=

 
 
 
 -
 Pensées d'un citoyen :
 http://leneant.echosblogs.org/
 (dernière mise à jour : 24/06/2006)
 
 Avis de citoyens :
 http://fr.groups.yahoo.com/group/Avis_de_citoyens/
 
 -
 Détaxe (simplement avoir le choix) : 
 http://www.detaxe.org
 -
 Une logithèque libre accessible à tous, tout OS confondu :
 http://www.framasoft.org
 -
 
 

RE : Re: RE : Re: [debutant] DADVSI , mes conclusions

2006-08-02 Par sujet Leneant
Salut Marc,

N'est-ce pas ce que nous disons tous depuis le début ?

Mais je ne vais pas redévelopper tout ce que nous avons déjà exprimé à savoir 
qu'il y a le droit
moral et le droit patrimonial et que DADVSI ne couvre qu'une partie du droit 
patrimonial du droit
d'auteur.
Que cette loi est incomplète et effectivement faite non pas pour contrôler 
l'usage des oeuvres au
sens du droit moral, mais l'usage des oeuvres conformément au droit patrimonial 
(tu payes tu
écoutes).

Mais au delà de çà, DADVSI m'a gavé. 

Je n'achetais pas énormément de CD ou de DVD et aujourd'hui à part le coffret 
star wars épisode I
à III quand il sortira, je n'achèterai plus de DVD. J'ai un vidéo club pas loin 
et celà me suffit
largement. De plus je rechignerais à passer à toute techno HD puisque la 
résolution actuelle est
largement suffisante pour mes conditions de visualisation. Et je ne referais 
pas la même erreur
que celle que j'ai comise lorsque mon lecteur de laser disque vidéo est tombé 
en panne. Je ne
renouvellerai pas mon stock de film.
Enfin de compte, pour moi, un vidéo club, à l'usage, est plus rentable que 
l'achat des films que
je souhaite regardé (plus de choix pour un prix de revient bien moindre).

Et je ne parle pas du P2P que je n'utilise pas.

Et en plus, j'ai recommensé à lire des oeuvres papiers, ce qui n'est pas plus 
mal.

Tiens, je vais aller faire un stock de disques durs avant que les nouveaux 
tarifs de la taxe pour
le droit d'auteur sur ces supports ne soit effective en france ;o). 

Personne n'envisage un voyage en suisse ? 

Cordialement.

Pascal.
--- Marc Siramy [EMAIL PROTECTED] a écrit :

 merci pour le lien.
 
 je n'ai guère le temps de commenter ce lien, toutefois j'en recommande
 vivement la lecture :

http://www.covertprestige.info/2006/08/01/68-pour-herve-rony-la-culture-serait-elle-un-bien-comme-un-autre
 ?
 --
 marc
 
 Leneant wrote:
  Bonjour,
  
  Et celà pourrait même avoir les effets inverses de ceux escomptés :
  
  http://www.ratiatum.com/news3447_Vive_le_quasi-monopole_de_l_iPod.html
  
  Bonne lecture.
  
  Cordialement.
  
  Pascal.
  --- Mary didier [EMAIL PROTECTED] a écrit :
  
  
 
 Marc Siramy a écrit :
 
 Bonsoir,
 
 
 
 Puisque la loi DADVSI impose l'installation de DRM sur nos ordinateurs,
  l'initiative Open DRM de Sun ( http://www.internetactu.net/?p=6410 )
 vaut sans doute la peine d'être soutenue pour deux raisons :
 - le fait que le code soit ouvert laisse la possibilité à chaque
 citoyen de pouvoir contrôler quelles informations personnelles sont
 prélevées sur sa machine,
 - le code est gratuit, et donc le financement des DRM prévu par le
 gouvernement n'est plus justifié (rappelons que le gouvernement
 projette de financer les DRM via une taxe sur le tabac).
 
 Selon l'article, [les] abonnés du câble ont une clé qui leur permet
 de recevoir des émissions.
 Que ce système de clé réponde ou non au principe que j'ai rappelé
 précédemment (et déjà brillament exposé par Isabelle), il s'agit là
 encore d'un mécanisme d'encodage et de cryptage de données.
 
 La manière de faire cette guerre est stupide. Qu'un DRM soit présent
 ou non au sein d'une oeuvre numérique, il faut bien que cette oeuvre
 soit décodée pour pouvoir en prendre connaissance. Or une fois
 l'oeuvre décodée, il sera toujours possible de contourner le DRM, ne
 serait ce qu'avec un caméscope numérique.
 Si j'oubliais: les DRM ont un intérêt (du moins les DRM propriétaires) :
 tuer les logiciels libres multimédia, mais cela n'a jamais fait nul doute.
 
 Or, me semble-t-il, les auteurs ou autres titulaires de droits voisins
 ont le libre choix d'imposer toute mesure de protection destinée à
 préserver leurs droits.
 Nul doute que ceux-ci s'opposeront aux DRM open-source.
 
 
 Le fait que l'absence de définition du terme interopérabilité est
 conduit à la suppression du droit à l'interopérabilité est certes
 affligeant. Cependant il revenait au Conseil constitutionnel d'enlever
 à la loi ses impuretés selon Philippe Aigrain (
 http://paigrain.debatpublic.net/ ).
 Donc le CC a bien fait son travail. Bien entendu. A moins que le CC
 ait quelque pu perdu la raison.
 
 Cela expliquerait peut-être ce que j'ai découvert aujourd'hui :
 Il avait été souligné à l'Assemblée Nationale, le 29 juin 2005,
 l'absence de définition du terme logiciel dans les textes :
 Notons cependant qu'il n'existe pas de définition des logiciels ou
 des programmes d'ordinateur dans les textes nationaux, européens ou
 internationaux régissant la propriété intellectuelle. Cette absence
 peut s'expliquer par la volonté de ne pas figer une définition
 susceptible d'évoluer en fonction de la technique. (
 http://www.assemblee-nationale.fr/12/europe/rap-info/i2426.asp ).
 
 Cette absence de volonté se manifeste aussi je crois lorsqu'il s'agit
 de définir les DRM / MTP.
 Aussi, pourquoi le CC déclare-t-il que le terme interopérabilité est
 inconstitutionnel quand dans le même temps, il ne remet en cause ni la
 définition du 

Re: RE : Re: RE : Re: [debutant] DADVSI , mes conclusions

2006-08-02 Par sujet patux
Leneant a écrit :
 Salut Marc,
 
 N'est-ce pas ce que nous disons tous depuis le début ?
 
 Mais je ne vais pas redévelopper tout ce que nous avons déjà exprimé à savoir 
 qu'il y a le droit
 moral et le droit patrimonial et que DADVSI ne couvre qu'une partie du droit 
 patrimonial du droit
 d'auteur.
 Que cette loi est incomplète et effectivement faite non pas pour contrôler 
 l'usage des oeuvres au
 sens du droit moral, mais l'usage des oeuvres conformément au droit 
 patrimonial (tu payes tu
 écoutes).
 
 Mais au delà de çà, DADVSI m'a gavé. 
 
 Je n'achetais pas énormément de CD ou de DVD et aujourd'hui à part le coffret 
 star wars épisode I
 à III quand il sortira, je n'achèterai plus de DVD. J'ai un vidéo club pas 
 loin et celà me suffit
 largement. De plus je rechignerais à passer à toute techno HD puisque la 
 résolution actuelle est
 largement suffisante pour mes conditions de visualisation. Et je ne referais 
 pas la même erreur
 que celle que j'ai comise lorsque mon lecteur de laser disque vidéo est tombé 
 en panne. Je ne
 renouvellerai pas mon stock de film.
 Enfin de compte, pour moi, un vidéo club, à l'usage, est plus rentable que 
 l'achat des films que
 je souhaite regardé (plus de choix pour un prix de revient bien moindre).
 
 Et je ne parle pas du P2P que je n'utilise pas.
 
 Et en plus, j'ai recommensé à lire des oeuvres papiers, ce qui n'est pas plus 
 mal.
 
 Tiens, je vais aller faire un stock de disques durs avant que les nouveaux 
 tarifs de la taxe pour
 le droit d'auteur sur ces supports ne soit effective en france ;o). 
 
 Personne n'envisage un voyage en suisse ? 
 
 Cordialement.
 
 Pascal.
 --- Marc Siramy [EMAIL PROTECTED] a écrit :
 
 merci pour le lien.

 je n'ai guère le temps de commenter ce lien, toutefois j'en recommande
 vivement la lecture :

 http://www.covertprestige.info/2006/08/01/68-pour-herve-rony-la-culture-serait-elle-un-bien-comme-un-autre
 ?
 --
 marc

 Leneant wrote:
 Bonjour,

 Et celà pourrait même avoir les effets inverses de ceux escomptés :

 http://www.ratiatum.com/news3447_Vive_le_quasi-monopole_de_l_iPod.html

 Bonne lecture.

 Cordialement.

 Pascal.
 --- Mary didier [EMAIL PROTECTED] a écrit :


 Marc Siramy a écrit :

 Bonsoir,



 Puisque la loi DADVSI impose l'installation de DRM sur nos ordinateurs,
 l'initiative Open DRM de Sun ( http://www.internetactu.net/?p=6410 )
 vaut sans doute la peine d'être soutenue pour deux raisons :
 - le fait que le code soit ouvert laisse la possibilité à chaque
 citoyen de pouvoir contrôler quelles informations personnelles sont
 prélevées sur sa machine,
 - le code est gratuit, et donc le financement des DRM prévu par le
 gouvernement n'est plus justifié (rappelons que le gouvernement
 projette de financer les DRM via une taxe sur le tabac).

 Selon l'article, [les] abonnés du câble ont une clé qui leur permet
 de recevoir des émissions.
 Que ce système de clé réponde ou non au principe que j'ai rappelé
 précédemment (et déjà brillament exposé par Isabelle), il s'agit là
 encore d'un mécanisme d'encodage et de cryptage de données.

 La manière de faire cette guerre est stupide. Qu'un DRM soit présent
 ou non au sein d'une oeuvre numérique, il faut bien que cette oeuvre
 soit décodée pour pouvoir en prendre connaissance. Or une fois
 l'oeuvre décodée, il sera toujours possible de contourner le DRM, ne
 serait ce qu'avec un caméscope numérique.
 Si j'oubliais: les DRM ont un intérêt (du moins les DRM propriétaires) :
 tuer les logiciels libres multimédia, mais cela n'a jamais fait nul doute.

 Or, me semble-t-il, les auteurs ou autres titulaires de droits voisins
 ont le libre choix d'imposer toute mesure de protection destinée à
 préserver leurs droits.
 Nul doute que ceux-ci s'opposeront aux DRM open-source.

 
 Le fait que l'absence de définition du terme interopérabilité est
 conduit à la suppression du droit à l'interopérabilité est certes
 affligeant. Cependant il revenait au Conseil constitutionnel d'enlever
 à la loi ses impuretés selon Philippe Aigrain (
 http://paigrain.debatpublic.net/ ).
 Donc le CC a bien fait son travail. Bien entendu. A moins que le CC
 ait quelque pu perdu la raison.

 Cela expliquerait peut-être ce que j'ai découvert aujourd'hui :
 Il avait été souligné à l'Assemblée Nationale, le 29 juin 2005,
 l'absence de définition du terme logiciel dans les textes :
 Notons cependant qu'il n'existe pas de définition des logiciels ou
 des programmes d'ordinateur dans les textes nationaux, européens ou
 internationaux régissant la propriété intellectuelle. Cette absence
 peut s'expliquer par la volonté de ne pas figer une définition
 susceptible d'évoluer en fonction de la technique. (
 http://www.assemblee-nationale.fr/12/europe/rap-info/i2426.asp ).

 Cette absence de volonté se manifeste aussi je crois lorsqu'il s'agit
 de définir les DRM / MTP.
 Aussi, pourquoi le CC déclare-t-il que le terme interopérabilité est
 inconstitutionnel quand dans le même temps, il ne remet en 

Re: RE : Re: RE : Re: [debutant] DADVSI , mes conclusions

2006-08-02 Par sujet Mary didier



Leneant a écrit :

Salut Marc,

N'est-ce pas ce que nous disons tous depuis le début ?

Mais je ne vais pas redévelopper tout ce que nous avons déjà exprimé à savoir 
qu'il y a le droit
moral et le droit patrimonial et que DADVSI ne couvre qu'une partie du droit 
patrimonial du droit
d'auteur.
Que cette loi est incomplète et effectivement faite non pas pour contrôler 
l'usage des oeuvres au
sens du droit moral, mais l'usage des oeuvres conformément au droit patrimonial 
(tu payes tu
écoutes).

Mais au delà de çà, DADVSI m'a gavé. 


Je n'achetais pas énormément de CD ou de DVD et aujourd'hui à part le coffret 
star wars épisode I
à III quand il sortira, je n'achèterai plus de DVD. J'ai un vidéo club pas loin 
et celà me suffit
largement. De plus je rechignerais à passer à toute techno HD puisque la 
résolution actuelle est
largement suffisante pour mes conditions de visualisation. Et je ne referais 
pas la même erreur
que celle que j'ai comise lorsque mon lecteur de laser disque vidéo est tombé 
en panne. Je ne
renouvellerai pas mon stock de film.
Enfin de compte, pour moi, un vidéo club, à l'usage, est plus rentable que 
l'achat des films que
je souhaite regardé (plus de choix pour un prix de revient bien moindre).

Et je ne parle pas du P2P que je n'utilise pas.

Et en plus, j'ai recommensé à lire des oeuvres papiers, ce qui n'est pas plus 
mal.

Tiens, je vais aller faire un stock de disques durs avant que les nouveaux 
tarifs de la taxe pour
le droit d'auteur sur ces supports ne soit effective en france ;o). 

Personne n'envisage un voyage en suisse ? 
  
j'ai la chance de pas etre loin du Luxembourg hi hi, je vais peut être 
participer d'avantage a l'essore de l'Europe ;-)

Cordialement.

Pascal.
--- Marc Siramy [EMAIL PROTECTED] a écrit :

  

merci pour le lien.

je n'ai guère le temps de commenter ce lien, toutefois j'en recommande
vivement la lecture :



http://www.covertprestige.info/2006/08/01/68-pour-herve-rony-la-culture-serait-elle-un-bien-comme-un-autre
  

?
--
marc

Leneant wrote:


Bonjour,

Et celà pourrait même avoir les effets inverses de ceux escomptés :

http://www.ratiatum.com/news3447_Vive_le_quasi-monopole_de_l_iPod.html

Bonne lecture.

Cordialement.

Pascal.
--- Mary didier [EMAIL PROTECTED] a écrit :


  

Marc Siramy a écrit :



Bonsoir,



Puisque la loi DADVSI impose l'installation de DRM sur nos ordinateurs,
l'initiative Open DRM de Sun ( http://www.internetactu.net/?p=6410 )
vaut sans doute la peine d'être soutenue pour deux raisons :
- le fait que le code soit ouvert laisse la possibilité à chaque
citoyen de pouvoir contrôler quelles informations personnelles sont
prélevées sur sa machine,
- le code est gratuit, et donc le financement des DRM prévu par le
gouvernement n'est plus justifié (rappelons que le gouvernement
projette de financer les DRM via une taxe sur le tabac).

Selon l'article, [les] abonnés du câble ont une clé qui leur permet
de recevoir des émissions.
Que ce système de clé réponde ou non au principe que j'ai rappelé
précédemment (et déjà brillament exposé par Isabelle), il s'agit là
encore d'un mécanisme d'encodage et de cryptage de données.

La manière de faire cette guerre est stupide. Qu'un DRM soit présent
ou non au sein d'une oeuvre numérique, il faut bien que cette oeuvre
soit décodée pour pouvoir en prendre connaissance. Or une fois
l'oeuvre décodée, il sera toujours possible de contourner le DRM, ne
serait ce qu'avec un caméscope numérique.
Si j'oubliais: les DRM ont un intérêt (du moins les DRM propriétaires) :
tuer les logiciels libres multimédia, mais cela n'a jamais fait nul doute.

Or, me semble-t-il, les auteurs ou autres titulaires de droits voisins
ont le libre choix d'imposer toute mesure de protection destinée à
préserver leurs droits.
Nul doute que ceux-ci s'opposeront aux DRM open-source.


Le fait que l'absence de définition du terme interopérabilité est
conduit à la suppression du droit à l'interopérabilité est certes
affligeant. Cependant il revenait au Conseil constitutionnel d'enlever
à la loi ses impuretés selon Philippe Aigrain (
http://paigrain.debatpublic.net/ ).
Donc le CC a bien fait son travail. Bien entendu. A moins que le CC
ait quelque pu perdu la raison.

Cela expliquerait peut-être ce que j'ai découvert aujourd'hui :
Il avait été souligné à l'Assemblée Nationale, le 29 juin 2005,
l'absence de définition du terme logiciel dans les textes :
Notons cependant qu'il n'existe pas de définition des logiciels ou
des programmes d'ordinateur dans les textes nationaux, européens ou
internationaux régissant la propriété intellectuelle. Cette absence
peut s'expliquer par la volonté de ne pas figer une définition
susceptible d'évoluer en fonction de la technique. (
http://www.assemblee-nationale.fr/12/europe/rap-info/i2426.asp ).

Cette absence de volonté se manifeste aussi je crois lorsqu'il s'agit
de définir les DRM / MTP.
Aussi, pourquoi le CC déclare-t-il que le terme interopérabilité est