[Ugnet] *DHR* CONFRENCE DE GOMA: les FDLR, qui sont les artisans de notre malheur actuel. (Dr KANDOLO)
Les FDLR dans la problématique de la paix en RDC. Les désarmer, c'est une question du courage Des FDLR, Parlons en un peu aux congolais, sans tabou, ni parti pris, monsieur le Président. Jean Pierre Bemba a-il sa place au sein du débat politique actuel? laquelle? N'a-t-il pas été le seul pendant le transition, à réclamer d'urgence, des mesures sévères et drastiques pour mettre fin aux activités de FAR ou en cas échéant, les rapatrier dans leur pays d'origine? Ne pas prendre des les armes n'est pas une faiblesse, monsieur le président! La conférence de Goma doit être l'occasion de refaire une réconciliation nationale ratée, car faute de grives, on mange des merles! Que font les FDLR chez nous? Avons-nous le droit de les garder dans notre pays dans leur forme actuelle? Il faut enlèver à Nkunda les raisons qui font partie de son fond de commerce, quand bien même l'on sait que ce fonds est alimenté d'ailleurs. Qui a intérêt à jouer le sale jeu de Nkunda, sinon ses complices? Tout le monde au Congo, sait que les FDLR, anciens alliés de Kabila, aussi bien que les troupes de Nkunda sans moyens de subsistance, car n'ayant aucune source de revenus au Congo, se nourrissent au détriment de nos richesses qu'ils trouvent sur place. Tous pillent, volent et violent. Et dans le domaine , il n'existe pas des bons et des mauvais pilleurs. Parlons , à haute voix. La guerre est financée au congo avec la complicité maffieuse des dirigeants eux-mêmes qui financièrement s'y retrouvent. Nos compatriotes du Kivu ne doivent pas être sacrifiés, par une politique obscurantiste des ses dirigeants. Désarmer les FDLR est une question de visibilité et de sincérité, de courage et du réalisme politique, et surtout, une question de l'honneur national. La Commission Vérité et Réconciliation, sera le seul lieu indiqué pour parachever le processus de réconciliation nationale, et les questions en suspens qui n'ont pas été évacuées par les accords de Sun City. Il n' y a aucune raison pour que le peuple congolais continue à subir les affres et l'humiliation d'une guerre aveugle, souvent entretenue à grands frais par mauvaise volonté de ses dirigeants. C'est fort risqué de toujours penser que tous les pays du monde nous en veulent pour nos richesses, sans que nous mêmes, nous n'analysions l'importance des conséquences des risques de nos propres turpitudes. Nous insistons cette fois, pour que toutes les questions, sans exclusives, qui ont enrayé le processus de paix dans notre pays, soient abordées à la conférence de Goma. Que personne ne se trompe, les élections ont été un début et non une fin en soi. Il est grand temps de penser à la reconstruction de ce grand et beau pays. L'exclusion n'a jamais payé. Beaucoup de congolais, se posent bien la question de savoir ce qui leur tombe sur la tête pour subir les exactions dont ils sont l'objet depuis une dizaine d'années. Sans chercher à rentrer dans le fonctionnement des sociétes traditionnelles, quant aux frictions relationnelles qui sont toujours normales dans la coexistence des éthnies qui vivent sur le même territoire, les exemples étant nombreuses en RDC et dans d'autres pays, il faut cependant, que les congolais sachent que ce sont les FDLR, qui sont les artisans de son malheur actuel. Ce malheur,vient de l'AFDL avec Mzée en tête, qui les a combattus avec le gouvernement Rwandais d'après le génocide. - Il est important de faire remarquer en passant, que la RDC n'avait rien à avoir dans ce génocide qui se passait à l'autre côté de la frontière-, mais encouragé par le coup audacieux des soldats de la FPR dans destruction des camps de réfugiés rwandais de Kimbumba,et Rumangabo, Mzée, se servira des troupes de Kagame pour renverser Mobutu. Première épisode. Une fois au pouvoir, le même Mzée décidera la rupture et l'expulsion des troupes rwandaises, avec conséquence, l'éclatement de la rébellion du 2 août 1998 qui consommera cette alliance. Deuxième épisode. Par une nouvelle alliance, le gouvernement congolais va utiliser les FDLR jadis combattus avec les FPR et va, les transformer en "Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda", pour combattre les rebelles du RCD et troupes Rwandaises qui accompagnaient. Troisième et dernier épisode. Dès cet instant, il est hors de question que le gouvernement ignore les agissements des FDLR et leurs responsabilités dans les massacres des civils aussi bien congolais que rwandais. Dans ce cas, il ne peut nier leur présence sur le sol congolais. L'objectif n'est pas de remettre les anciennes FAR au Rwanda, contre leur propre gré, ce rapatriement doit se faire base des accords internationaux en leur accordant un statut de réfugiés ou sur base de retour volontaire. Monsieur JP Bemba en avait plus d'une fois, levé l'option, en insistant que la République Démocratique du Congo qui ne devait pas servir de base arrière aux FDLR était
[Ugnet] [abujaNig] CONDESCENSION AND IGNORANCE ARE NO HELP TO KENYA
Africans It is interesting that although these articles are written in UK's main papers, our friends like Pat Anderson Edie Cross or even Caroline do not see them or simply do not want to post them. Here is one from the Guardian of London of this morning. EM Toronto = Condescension and ignorance are no help to Kenya The West's patronising response to the recent events in Kenya betrays our lack of respect to a sophisticated continent Richard Dowden Sunday January 6, 2008 Observer Imagine: at the end of the Second World War, America and the Soviet Union decide they are tired of tribal warfare in Europe. The century is only halfway through and already some 90 million people have been slaughtered. The solution is a single European country imposed from above. So the Slovene President is trying to broker a provincial border dispute between France and Germany. Under France is a vast pool of oil but some of it is also under Germany - the Germans are all Muslim by the way. Meanwhile, the ancient tribal hatreds still cause frequent massacres among Greeks and Turks, Basques and Spanish and in Highbury and Tottenham. Tribalism is not an exclusively African disease. Imagining a 'tribal' Europe gives you some idea of what African citizenship is like. The EU has only 23 languages; Africa has at least 2,000. Kenya alone has 40. Like an imagined Europe unified by force by outsiders, Africans played no part in the creation of their nation states. Their boundaries were drawn on maps in Europe by Europeans who had never even been to Africa and with no regard for existing political systems and boundaries. Half a century later, Africans were given flags and national anthems, airlines and armies and told they were now independent; Kenyans, Nigerians or Chadians. Unsurprisingly, most Africans, especially in rural areas with little education, identify more with their own people, language, culture and society than they do with their nation state, especially if that nation state has done nothing for them. That is not to say they reject it. Kenyans are proud of being Kenyan; even Congolese, where the nation state is weakest, are desperately Congolese. There are no serious secessionist movements in Africa today, except in Somaliland where there is no ethnic factor involved. So while tribalism is an issue in Africa, it is not some weird atavistic African sentiment but a logical result of Africa's imposed history. Most Africans I have met speak three or four languages, intermarriage is common and there is, in normal times, little personal conflict between people of different ethnicity. What always astounds me in Africa is how well people of completely different cultures, customs and languages get along with one another. In some African countries, there is one dominant ethnic group. In Zimbabwe, it is the Shona, in Uganda the Baganda and in Kenya it is the Kikuyu. The Kikuyu also dominate business and tend to be richer than other groups. Some of that comes through hard work and business acumen, but a lot of it comes through corrupt political connections, which has bred fierce resentment from those who have nothing. Almost half of Kenyans live in desperate poverty, on the equivalent of a dollar a day. But around them they see rich foreigners and some very rich Kenyans, mostly Kikuyu. In a 2005 opinion poll, Kenyans put equality as the issue that concerned them most, equality of opportunity as well as resources. Given their poverty and frustration, Kenyans are remarkably patient and peaceful. But no wonder there was rage when an election appears to have been stolen by a corrupt Kikuyu elite. So in Nairobi's appalling slums crammed with desperately poor but hopeful Kenyans from all over the country, Kikuyu shops and zones have been attacked and Kikuyus killed. In other parts of the country, Kikuyu outside their traditional area are also being attacked, as they were in Eldoret. In that part of the Rift Valley, land was taken in the Forties and Fifties for white farmers and the local Kalenjin driven off. At independence, the white farmers left, selling to the highest bidders, who happened to be rich Kikuyu. They moved in other Kikuyu to work the land and their 'occupation' is deeply resented. Land in Africa is not real estate, to be bought and sold. It is sacred, where the ancestors still live, part of a person's blood and soul. It cannot just be sold like cloth. Ever since the white man left, there have been periodic clashes over land in the Rift Valley; Kenya's population has doubled since then, so competition for land intensifies. Anyone who expressed shock at the recent violence in such a 'stable' country clearly knows nothing about Kenya. The British government was caught completely by surprise, but immediately deployed the language of a former colonial power. Gordon Brown said: 'What I want to see is...' His advice was wise but his tone set teeth on edge. Would he have used that language when another form
[Ugnet] Re: LE GENERAL NKUNDA BRISE LE SILENCE.(P Nkusi)
Re: Fwd: Re: LE GENERAL NKUNDA BRISE LE SILENCE.(Nkusi) Patrick Nkusi, Cette information nous a ete expediee avec l'entete de www.misna.org qui est un organe de presse bien respecte dans le monde.Et tout comme nous ne pouvons deranger a tout moment le General ou ses sevices de presse pour confirmer la veracite de telle ou telle information nous fions quelque fois au jugement de l'expediteur.de toute maniere nous comptons rectifier notre facon de proceder et de le contacter en ``PERSONNE`` la prochaine fois qu'une interview d'une telle importance sera desseminer a travers la presse mondiale. Considerations Sharangabo Rufagari. Montreal "Patrick R. Nkusi" <[EMAIL PROTECTED]> wrote: Chers tous, Apres lecture et verification, je vous confirme que cette interview n'est pas du tout authentique. Veuillez vous assurer de la veracité des documents avant des les balancer à un si grand nombre de personnes, au grand dam du Chairman Nkunda. Merci sharangabo rufagari <[EMAIL PROTECTED]> wrote: Re: LE GENERAL NKUNDA BRISE LE SILENCE.(Kayitare) Kayitare, Quelqu'un me l'a envoyer sur mon-email.Je vais essayer de verifier avec le General NKUNDA lui meme a l'instant.Je vous y reviendrai. Sharangabo --- In [EMAIL PROTECTED], "Kayitare Alexis" <[EMAIL PROTECTED]> wrote: > > Sharangabo, > cette interview me semble etre un fake? Es-tu sur de sa veracité? > sharangabo rufagari <[EMAIL PROTECTED]> wrote: RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO 02/01/2008 10.17 RDC : Le Chairman du CNDP le général Laurent Nkundabatware Mihigo brise le silence après sa victoire militaire face aux FARDC Divers, Standard Kinshasa, 02 janvier 2008 (Misna) : L'ouverture de la conférence de Goma prévue pour le 27 décembre 2007 a été reportée au 06 janvier 2008 sans trop d'explications de la part des organisateurs de cette messe, que certains Congolais n'hésitent plus à qualifier de conférence pour la signature de la capitulation ou de la reddition officielle des FARDC après leurs débâcles spectaculaires, à Mushaki, Karuba et Mweso, face à une poignée des rebelles du CNDP du général dissident Laurent Nkundabatware Mihigo. Au cours de cette longue interview réalisée par téléphone depuis Kinshasa, nous avons a bordé tous les sujets qui fâchent, notamment : les soupçons de haute trahison au sein des FARDC ; la problématique du retour des réfugiés Tutsis ; la sécurisation des Congolais d'origine Rwandophone et des Tutsis en particuliers ; le redécoupage des territoires administratifs du Nord et du Sud-Kivu ; l'influence croissante du Rwanda dans la gestion de la crise à l'Est de la RDC ; l'exhumation des accords de Lemera ; la possibilité de sécession des certains territoires ainsi que la création d'un Tutsiland indépendant ; Et enfin la plainte déposée à la CPI contre le CNDP. La détermination dont fait preuve ce général dissident doit faire réfléchir tous ceux qui n'ont pas encore pris véritablement conscience des conséquences de la tragédie qui endeuille l'Est de la RDC depuis 1996. - Le report de l'ouverture de la conférence de Goma est-il un bon ou un mauvais signal pour la suite des événements à l'Est de la RDC ? Je ne suis pas un devint, mais je crois qu'il y a eu un peu de précipitation dans le chef des organisateurs. Tout ceci donne un peu raison à ceux qui croient, à tord ou à raison, que la défaite des FARDC était organisée par le gouvernement dans le but de faire accepter à la population l'idée même d'une telle assisse. Ce qui est loin d'être le cas. - Vu le flou qui entoure l'organisation de cette conférence (le nombre pléthorique des participants 500 à 700 invités dont un tiers d'étrangers, les critères de sélection des participants sont complètement subjectifs, les thèmes à aborder sont imprécis, la mise à l'écart de la presse indépendante, la non-publicité des débats en direct sur tous les médias publiques et privés, la sécurité des participants n'est pas garantie ), pensez-vous que cette conférence aboutira tout de même à un résultat positif pour les populations martyres du Kivu ? Nos craintes sur la possibilité d'un flop sont tout à fait légitimes. Le manque de neutralité des personnalités choisies afin de piloter cette conférence est en soit un problème. En effet, toute la société civile du Nord et du Sud-Kivu connaît très bien les limites de l'Abbé Apollinaire Mulu Malu Muholongu. Tout le monde sait d'où il vient, comment et pourquoi il fut littéralement parachuté à la tête de la CEI lors de la signature des accords de Sun City le 22 décembre 2002. Personne n'ignore la raison de sa reconduite à la tête de la CENI ! Quant à Vital Kamheré, vous n'avez qu'à écouter les chansons de Koffi Olomidé où son nom est toujours cité en bonne place, et v
Re: [Ugnet] Mr President , What's 'Partisan' politics?
Hi John, Thanks for Paul's clip. Did Paul ever do high jump in High School? It's just incredible that he could jump so high!! He must be very athletic. That said have you heard from Juliet and Sanyu since we last spoke? I should imagine Juliet and Paul are now in Uganda . Quite possibly being reacquainted with Amin's days when walking was the order of the day. I understand there is some serious gas shortage in the country. In Paul's case it should be quite an experience. I also hear a lot of Kenyans have crossed into Uganda as refugees to escape the ethnic fighting. Enough of this stuff. By the way my home phones are now working. The Vonage one is (708)747 0796 and AT &T is (708)2838250. I had to get an AT&T one because it was the only way to get DSL. They are charging $16.00, a month, before taxes, for it . Then I have to pay $25.00 (before taxes) for Vonage . Chances are I will switch to another provider of DSL , which doesn't require installing a telephone line. I am staying with these folks to recoup the initial costs I incurred in installing the DSL. Take care. Semei - Original Message From: Bwambuga <[EMAIL PROTECTED]> To: Uganda Net Sent: Wednesday, January 2, 2008 8:53:05 PM Subject: [Ugnet] Mr President , What's 'Partisan' politics? ..."History never repeats itself; it is only the unenlightened or the forgetful who repeat the mistakes of history"... Mr President, what’s ‘partisan’ politics? TRADITIONAL LEADERS: Dr Oloka Onyango President Yoweri Museveni’s “Letter to the Kabaka” run in Daily Monitor and Sunday Vision is the most articulate expression of the problem of bad governance that results from a continued and excessive stay in power. The letter not only instructs the Kabaka when to speak; but also what he should speak about, to whom the Kabaka should address himself when speaking, and when the Kabaka should shut his mouth. Despite its placid introduction, the President’s letter is not an appeal; it is a command! To fully understand the President’s problem one needs to take a short step back into history. The precise history in this case relates to the restoration of the Buganda Kingdom in 1993 and to the reasons why Museveni supported its restoration. It is important to recall that the kingdoms (with the obvious exception of Ankole, which was not a vote winner) were restored in mid-1993, shortly before elections for the Constituent Assembly (CA). Among the few voices who spoke out against the move was that of Solome Bbosa, President of the Uganda Law Society at the time, and current judge of the International Criminal Tribunal for Rwanda. Justice Bbosa advised that the matter of traditional leaders should be given a full and comprehensive examination in the debate that was to take place in the CA. After all, the Justice Odoki draft of the Constitution contained several provisions on the restoration of traditional rulers which would be given a full consideration in the national debate. For her efforts, Justice Bbosa was condemned as a member of FOBA-Force Obote Back Again-by such luminaries of the time as the late Dr Samson Babi Mululu Kisekka (Vice President), Abu Kakyama Mayanja (Attorney General/Minister of Justice), and Prof. Apolo Robin Nsibambi (then Minister of Constitutional Affairs in the Buganda government, and current Prime Minister) who were intent on securing their positions as the main links (bayungirizi) between Buganda and the NRM government. On his part and true to character, President Museveni declared that any attempts to stop the restoration would be met with (military) force as he was eying the many votes that would come from Buganda as a result of the restoration. What was the result of all these manouvres? In the first instance, there was very little debate on the legal character of the restored kingdoms with the exception of the clause designed to ensure that they remained ‘non-partisan,’ a clause that has been opportunistically (mis)interpreted by the President to mean support for the NRM. Thus, President Museveni sees no problem with employing members of the Royal Family in his office as Presidential Advisors or letting them speak at his electoral campaigns, while he does not hesitate to condemn Royals who declare their support for the political opposition. The second problem with the restoration was that there was no indication of who had the right and the power to determine what actions by traditional leaders should be regarded as ‘non-partisan.’ Quite clearly, it should not be the President, because he has a direct interest in the matter. Thirdly, the law did not provide for any institution or forum with the mandate to resolve a dispute between traditional leaders and the central government over actions that may be regarded as ‘partisan.’ In brief the term ‘non-partisan’ was not subjected to any concise definition. While it is quite clear to me