Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Le 17/02/2020 à 20:02, severin.menard via Talk-fr a écrit : Pour la solution basée sur le boîtier Drotek Sirius utilisant la carte ublock F9, que faut-il prévoir en plus côté accessoires ? Un gros trépied ? Oui De quoi l'alimenter ? Batterie fournie Un boîtier étanche pour les intempéries ? Le mieux est peut-être de leur demander Et côté softs ? Tu peux presque tout faire avec RTKLib qui est FOSS. Ce fork est recommandé : https://github.com/rtklibexplorer/RTKLIB Si j’ai bien compris, l’idée n’est pas de créer une base GNSS comme le montrait Stéphane dans sa présentation, mais d’avoir deux récepteurs qui enregistrent leur position de manière Indépendante et du post-traitements une fois le terrain fini ? L'idée c'est d'utiliser un récepteur en tant que base qui pourra être déplacée de temps en temps. Mais pour que les coordonnées de cette base soit correctes, il faudra tout de même la laisser assez longtemps (plusieurs heures) sur un endroit fixe. Quelle surface tu souhaites couvrir ? Y a-t-il d’autres personnes que moi qui seraient intéressées par un atelier pratique lors du SotM de Nantes sur toute la chaîne des deux approches Ublock en PPP et deux ublocs + ? Je pourrais amener un ou deux Drotek. Pourquoi pas. Stf ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Dans tes choix, vérifie que le signal Galileo est capté car là tu as "en brut" de la précision métrique. Ce n'est pas ce que tu cherches, mais c'est déjà sans doute suffisant : En général en France on utilise le cadastre et BDOrtho qui utilisent un repère propre, tectoniquement stable et non le WGS84. Il y a actuellement 80 cm de différence (de mémoire). Jean-Yvon Le 17/02/2020 à 20:02, severin.menard via Talk-fr - talk-fr@openstreetmap.org a écrit : Bonjour à tou-te-s, Merci pour les nombreuses réponses et conseils sur ce fil ! Pour la solution basée sur le boîtier Drotek Sirius utilisant la carte ublock F9, que faut-il prévoir en plus côté accessoires ? Un gros trépied ? De quoi l'alimenter ? Un boîtier étanche pour les intempéries ? Et côté softs ? Je vais devoir faire établir un devis et ne voudrais rien oublier. Le seul intérêt du matériel que j’avais trouvé sur le net est qu’il soit apparemment capable de recevoir les infos différentielles Omnistar, le seul service (payant sous abonnement) qui semble couvrir l’Afrique subsaharienne. Comme c’est malheureusement un machin propriétaire qui exige que le récepteur soit compatible (https://en.wikipedia.org/wiki/OmniSTAR), je pense que le Drotek ne doit pas pouvoir l’utiliser. Mais pour éviter de rester des jours sur un même point en mode PPP, il y a donc la méthode intéressante proposée par Éric d’avoir un récepteur fixe et un autre mobile, ce qui rend l’organisation du terrain plus facile. Si j’ai bien compris, l’idée n’est pas de créer une base GNSS comme le montrait Stéphane dans sa présentation, mais d’avoir deux récepteurs qui enregistrent leur position de manière Indépendante et du post-traitements une fois le terrain fini ? Y a-t-il d’autres personnes que moi qui seraient intéressées par un atelier pratique lors du SotM de Nantes sur toute la chaîne des deux approches Ublock en PPP et deux ublocs + ? Je pourrais amener un ou deux Drotek. Séverin ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
[OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour à tou-te-s, Merci pour les nombreuses réponses et conseils sur ce fil ! Pour la solution basée sur le boîtier Drotek Sirius utilisant la carte ublock F9, que faut-il prévoir en plus côté accessoires ? Un gros trépied ? De quoi l'alimenter ? Un boîtier étanche pour les intempéries ? Et côté softs ? Je vais devoir faire établir un devis et ne voudrais rien oublier. Le seul intérêt du matériel que j’avais trouvé sur le net est qu’il soit apparemment capable de recevoir les infos différentielles Omnistar, le seul service (payant sous abonnement) qui semble couvrir l’Afrique subsaharienne. Comme c’est malheureusement un machin propriétaire qui exige que le récepteur soit compatible (https://en.wikipedia.org/wiki/OmniSTAR), je pense que le Drotek ne doit pas pouvoir l’utiliser. Mais pour éviter de rester des jours sur un même point en mode PPP, il y a donc la méthode intéressante proposée par Éric d’avoir un récepteur fixe et un autre mobile, ce qui rend l’organisation du terrain plus facile. Si j’ai bien compris, l’idée n’est pas de créer une base GNSS comme le montrait Stéphane dans sa présentation, mais d’avoir deux récepteurs qui enregistrent leur position de manière Indépendante et du post-traitements une fois le terrain fini ? Y a-t-il d’autres personnes que moi qui seraient intéressées par un atelier pratique lors du SotM de Nantes sur toute la chaîne des deux approches Ublock en PPP et deux ublocs + ? Je pourrais amener un ou deux Drotek. Séverin___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Le 17/02/2020 à 17:28, osm.sanspourr...@spamgourmet.com a écrit : Le 17/02/2020 à 17:20, Eric SIBERT via Talk-fr - talk-fr@openstreetmap.org a écrit : alors que pour ceux qui ont déjà un smartphone... RTKGPS ? RTKGPS n'est que RTKLIB pour Android. Il faut tout de même un récepteur qui propose les données "RAW", ce qui est plutôt rare sur les smartphones, et les résultats sont ... moyens ... pour cause d'antenne pas terrible. Stf ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Le 17/02/2020 à 17:20, Eric SIBERT via Talk-fr - talk-fr@openstreetmap.org a écrit : alors que pour ceux qui ont déjà un smartphone... RTKGPS ? Jean-Yvon ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Le 2020-02-17 13:55, marc marc a écrit : Merci pour les précieuses réponses précédentes. Le 17.02.20 à 13:27, Eric SIBERT via Talk-fr a écrit : ma recommandation première pour caler les photos satellites est d'enregistrer un maximum de trace GPS sur les zones de travail. je suis mitigé par cette solution. [...] Là, je parle surtout de l'Afrique, la question initiale du fil de discussion. À Madagascar, j'ai l'impression d'être presque le seul contributeur à téléverser des traces GPS. La seule ville où il y a trop de traces, c'est celle de ma belle-famille. Sur les grands axes, ça devient illisible mais on peut aussi caler l'imagerie avec les axes secondaires. Ou alors tu as un outil pour trouver la valeur médiane d'un ensemble de traces ? Non. À un moment donné, il y avait un outil comme ça avec les données strava. J'ai essayé avec les traces GPS des cyclistes en montagne mais ce n'était pas très concluant. Les cyclistes enregistrent beaucoup plus de points à la montée qu'à la descente, ce qui tirait latéralement les traces côté montée. Ensuite, l'algorithme coupait un oeu sauvagement les virages. comparativement, laisser un enregistreur gps quelque part pour obtenir une position précise me plaît beaucoup. en déduire ensuite par différentiel la position précise d'un point bien identifiable sur imagerie me semble le top. au final un seul point dans osm et surtout une grande facilité à faire l'alignement, tant pour moi Oui mais beaucoup plus cher, un facteur limitant dans certains coins d'Afrique. La solution avec deux F9P va couter 800 € (pour une portée de 35 km). On pourrait imaginer de travailler en mono-fréquence avec une puce Neo-M8M pour une centaine d'euros par récepteur et une portée limitée à 10 km. Alors que pour ceux qui ont déjà un smartphone... Eric ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Merci pour les précieuses réponses précédentes. Le 17.02.20 à 13:27, Eric SIBERT via Talk-fr a écrit : > ma recommandation première pour caler les photos satellites est > d'enregistrer un maximum de trace GPS sur les zones de travail. je suis mitigé par cette solution. si je regarde une de mes zones de confort où les images sat ne sont pas toutes bien alignées (voir toute désalignée), la zone est noyées de traces mais la qualité de celle-ci étant très variable (y compris variable au sein même d'une trace), visuellement il n'y a pas grand chose à en tirer. il faudrait pouvoir flager une trace en "trop mauvais", ce point là en "parasité" pour au final garder le potable en vu d'en faire une moyenne. bref on sauve des centaines de point pour un résultat que je trouve bof. Ou alors tu as un outil pour trouver la valeur médiane d'un ensemble de traces ? comparativement, laisser un enregistreur gps quelque part pour obtenir une position précise me plaît beaucoup. en déduire ensuite par différentiel la position précise d'un point bien identifiable sur imagerie me semble le top. au final un seul point dans osm et surtout une grande facilité à faire l'alignement, tant pour moi ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
faut-il laisser tourner une appli utilisant le gps en permanence ? Oui. OSMTracker par exemple, surtout que ma recommandation première pour caler les photos satellites est d'enregistrer un maximum de trace GPS sur les zones de travail. paramètres de la ionosphère...). cela est-il pris en compte aussi quand l'appareil est allumé en intérieur avant de sortir (voiture, veranda) ou cette mesure risque d'être faussée ? Plus il y a de satellites, plus on récupère les infos rapidement. Sinon, on risque de travailler avec des informations incomplètes, voir périmées. De plus, en captant bien les satellites, le récepteur va, pour chaque satellite, en plus de la mesure de distance, récupérer la phase (le nombre de cycles de l'onde porteuse entre deux mesures de distance successives). La phase est très précise car elle est mesurée à une fraction de longueur d'onde près (longueur d'onde du signal GPS=20 cm). Ça permet de lisser efficacement la position dans le temps. Si on coupe la réception, on repart plus ou moins à zéro. Dans la véranda, collée à la maison et avec une structure métallique, ça risque de ne pas être top car on ne voit pas tous les satellites. Pour la voiture, un parebrise athermique risque aussi de poser problème. C'est néanmoins ce que je fais. Dès que j'arrive à la voiture, je mets en route le GPS sur le tableau de bord, le plus loin possible sous le parebrise. Ensuite, je charge les enfants, les bagages et tout... Eric ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour, Le 17.02.20 à 12:23, Eric SIBERT via Talk-fr a écrit : > smartphone > 10-15 mn, histoire de bien capter un maximum de satellites et de > récupérer les dernières informations du réseau (satellites en service, j'avais deja appliqué ce conseil dans le passé pour des photos sur smartphone. cependant en prennant des photos de manière "isolée" (une photo maintenant, une autre photo + tard), j'ai l'impression que les données récupérées lors du premier long fix ne sont pas sauvegardées. plus précisément, la 2ieme position met aussi un certains temps à se stabiliser. est-ce une impression ? faut-il laisser tourner une appli utilisant le gps en permanence ? ou certaines applis et ou système sauvegardent l'information entre 2 utilisations du gps ? > paramètres de la ionosphère...). cela est-il pris en compte aussi quand l'appareil est allumé en intérieur avant de sortir (voiture, veranda) ou cette mesure risque d'être faussée ? Cordialement, Marc ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour, En complément de mon précédent message et de celui de Stéphane. Pour l'utilisation d'un récepteur GPS autonome ou d'un smartphone, on le met en route à l'avance et on le laisse sur un point dégagé pendant 10-15 mn, histoire de bien capter un maximum de satellites et de récupérer les dernières informations du réseau (satellites en service, paramètres de la ionosphère...). Pour la future campagne à Madagascar, je prévois de partir avec deux enregistreurs F9P. Pour les périodes plus ou moins en fixe, une dans un Parc National, l'autre dans une ville, je prévois de laisser un récepteur en fixe pour la durée du séjour alors que l'autre servira aux relevés sur le terrain. De retour en France, un calcul PPP sur les stations fixes temporaires doit permettre de descendre à 10 cm de précision sur ces stations. Ensuite, on fait un calcul différentiel entre la station fixe et la station mobile qui se déplace à quelques kilomètres de là, avec une incertitude de 1 cm + (1 mm par kilomètre d'écart). L'usage de deux récepteurs/antennes identiques permet de limiter certains biais de calcul. Eric ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Il y a bien une solution aussi pour créer des points de calage: rester sur le lieu pour faire des mesures à différentes heures pour pouvoir capter plus de satellites dans des directions différentes. Même avec un capteur de mauvaise qualité (immédiate) on doit pouvoir obtenir un moyennage correct. Bref, se fixer un point précis où on pourra caler un appareil précisément, offrant un dégagement suffisant dans plein de directions, et y revenir. Certes la mesure ne sera pas faite en 3 minutes mais à plusieurs heures de la journée (et éventuellement aussi avec plusieurs appareils différents pour que leurs propres erreurs internes se compensent), on doit pouvoir faire ça à pas cher, et se former une grille géodésique "maison" qui pourra servir de référence et qui pourra ensuite être maintenue). Mettre ensuite cela en ligne en formant une base géodésique avec des fiches d'observation et de calage. Progressivement augmenter la résolution de cette grille de triangulation. Reste alors à bien choisir les points, qui doivent être facilement observables sur l'imagerie et assez stables sur le terrain: emplacement d'un puits, pylône électrique, borne kilométrique sur une route, coin de terrasse sur un toit de bâtiment construit en dur, statue, pilier d'un pont sur un fleuve, etc. (on évitera les arbres, même isolés, car pas faciles à caler et n'offrant pas assez de visibilité en différentes saisons, pour que le point soit aussi observable avec des mois de décalage dans les prises de vue). Choisir ces points devrait être possible en utilisant l'imagerie existante pour trouver les points remarquables, facilement calables visuellement et persistants et faciles aussi d'accès en sécurité (pas au milieu d'une route, mais pourquoi pas au centre d'une place piétonne à condition de trouver un emplacement bien marqué). C'est plus difficile en milieu très rural ou forestier, savane ou désert car les éléments naturels dominent et n'ont pas de point facilement remarquables et clairement identifiables une fois sur le terrain, et ce n'est pas évident non plus d'y rester longtemps pour faire des observations longues et d'y revenir précisément sans ambiguïté, mais on doit pouvoir y trouver quand même des constructions stables. Si on ne trouve rien, on peut se caler sur le marquage au sol des routes, sur un pied de panneau de signalisation ou publicitaire, et sinon sur un rocher remarquable en bordure de fleuve, où on pourra aussi matérialiser un point de calage pour la marquer et la retrouver plus tard sans la confondre avec une autre. Une photo ajoutée à la fiche devrait aussi aider et plus facile à utiliser qu'une description (surtout dans un contexte multilingue). Le ven. 14 févr. 2020 à 11:22, Martin Noblecourt a écrit : > Bonjour, > > Merci Séverin de (re)lancer ce sujet toujours aussi problématique. > > Côté CartONG on a plutôt appliqué jusqu'à présent la politique soit de > tracer sur le calage de l'image utilisée si pas de données pré-existantes, > soit de recaler l'imagerie sur Bing dans le cas de données existantes, pour > être cohérents avec ces dernières. > > L'idéal est bien entendu d'avoir des points de référencement pris sur le > terrain. En dehors de l'hypothèse de l'achat d'un GPS submétrique, qui > demanderait une organisation spécifique comme tu l'as mentionné, il reste > l'option 1) d'essayer d'améliorer la précision des GPS de téléphones (nous > avons publié un tutoriel, en anglais, contenant quelques techniques pour > cela > <https://blog.cartong.org/2019/05/03/collecting-gps-data-with-mobile-devices-tips/>), > et de choisir un smartphone avec un bon capteur GPS (nous avons également fait > une étude sur le sujet > <https://blog.cartong.org/2019/03/18/assessment-of-the-gps-accuracy-of-mobile-devices/>, > qui a mis en avant des précisions médianes allant de 2m à 5m selon les > modèles, sachant que la précision est souvent encore plus mauvaise pour les > marques chinoises "pas chères"... il y a donc aussi une marge importante > de ce côté). > > Bonne journée, > > Martin > On 14/02/2020 10:51, talk-fr-requ...@openstreetmap.org wrote: > > Subject: > [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries > satellites - quelle approche et quel matériel ? > > From: > "severin.menard" > > > Date: > 14/02/2020, 03:00 > > To: > Discussions sur OSM en français > > Bonjour à tou-te-s, > > J'ai eu l'occasion d'en parler de manière informelle à quelques personnes > et peut-être ce sujet a-t-il déjà été discuté en long et en travers sur un > fil de cette liste ou sur le forum, mais je ne l'ai pas trouvé. Désolé si > c'est le cas ! > > Après une assez longue période (en gros entre 2012 et mi 2017) pendant > laquelle la communauté OSM s'est appuyée sur l'imagerie Bing pour > digitaliser, l'arri
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour Séverin, Je ne vais pas discuter du SX Blue, d'autres l'ont fait, mais un peu plus des autres options disponibles, principalement à base de puce Ublox F9P. - On va partir du principe qu'il n'y a pas de réseau de base gnss accessible comme le RGP en France [1]. Si on utilise un récepteur standard, ou même un récepteur plus évolué comme le F9P, mais en fonctionnement basique, alors on ne sera pas en submétrique. Dans ce genre de cas, on peut utiliser le PPP pour "Precise Point Positionning". Ça ne peut se réaliser qu'avec un récepteur type F9P ou autre produit de la même gamme. Pour ce faire, on place notre récepteur sur un point fixe, et on le laisse enregistrer sur plusieurs heures, l'idéal étant 24h. Ensuite, on peut récupérer les données et les traiter avec des services en lignes (gratuits) ou avec RTKLIB (logiciel libre), mais c'est un peu plus compliqué avec ce dernier. Là, on obtiendra une position sous les 10 cm, et encore mieux si on attend quelques semaines avant de faire le post-traitement (je t'épargne les détails techniques pour l'instant). Je pense que le Sirius qu'a mentionné Christian est adapté à ce genre de cas. L'inconvénient de cette solution PPP, c'est qu'il faut pouvoir laisser le récepteur en place sur une longue durée. Il y a une évolution du PPP qui utilise des corrections (SSR) et qui permet d'obtenir une très bonne précision bien plus rapidement, mais c'est encore assez expérimental[3]. L'étape suivante, c'est d'installer des bases fixes pour recréer un réseau comme celui du RGP, comme Centipede [2]. Ensuite, le récepteur qui pourra être basé lui aussi sur une puce F9P, utilisera la position de la base pour calculer la sienne avec plus de précision (toujours - de 10cm si on reste dans un rayon de 30 à 60 km de la base). Cette position pourra être obtenue en général en moins d'1mn si on peut recevoir les données de la base en direct (connexion internet), ou alors on enregistre les données séparément, et on post traite ça une fois qu'on retrouve un ordi et une connexion, c'est en général ce que je fais et j'obtiens ce genre de chose : http://www.stemani.fr/public/Osm/anim_rtk.gif On appelle ça du RTK, ou Post-RTK si on n'est pas en temps réel (parfois abrégé en PPK). J'ai construit ma propre base et j'en ai parlé au dernier Sotm, mais malheureusement ce n'était pas filmé. Les diapos sont là : http://www.stemani.fr/public/gnss/Fabrication_base_GNSS.pdf Le code : https://github.com/Stefal/rtkbase Depuis, d'autres ont été fabriquées sur le même concept et rejoindront le réseau centipede prochainement : https://twitter.com/complementterre/status/1204801663321726976 J'ai aussi un logger mobile qui enregistre sur une carte micro SD, mais je n'ai pas documenté pour le moment. Je récupère son signal via Bluetooth sur mon smartphone, mais c'est de la localisation standard puisque la plupart du temps je ne suis pas connecté à une base, je fais du post-traitement un fois rentré. Pour ce qui est de récupérer ce signal Bluetooth via une appli libre, j'ai forké un fork de fork deBlueGPS. Il est loin d'être parfait, n'est pas 100% stable, mais il existe : https://github.com/Stefal/bluegnss4droid/releases Mes compétences en Java étant proches du néant, j'ai du mal à l'améliorer [1]http://rgp.ign.fr/DONNEES/diffusion/ [2]https://centipede.fr/ [3]https://rtklibexplorer.wordpress.com/2018/05/08/using-ssr-corrections-with-rtklib-for-ppp-solutions/ A+ Stéphane Le 14/02/2020 à 03:00, severin.menard via Talk-fr a écrit : Bonjour à tou-te-s, J'ai eu l'occasion d'en parler de manière informelle à quelques personnes et peut-être ce sujet a-t-il déjà été discuté en long et en travers sur un fil de cette liste ou sur le forum, mais je ne l'ai pas trouvé. Désolé si c'est le cas ! Après une assez longue période (en gros entre 2012 et mi 2017) pendant laquelle la communauté OSM s'est appuyée sur l'imagerie Bing pour digitaliser, l'arrivée d'autres ressources (Digital Globe en mai 2017, Esri puis Maxar remplaçant Digital Globe avec une imagerie différente, qui n'est plus disponible actuellement) a permis de bénéficier d’imageries généralement plus récentes que Bing et parfois sans nuages sur des zones qui restaient encore à digitaliser complètement. Cependant, chacune de ces images possède un géo-référencement légèrement différent, à quelques mètres pràs, sans qu'il soit souvent possible de déterminer lequel serait le meilleur à partir des traces de terminaux GPS grand public à 2-5 m de précision. En France, la convention passée entre OSM France et l'IGN permet de s'appuyer sur son imagerie dont le géo-référencement, j'imagine, peut être considéré comme faisant référence. Sur d'autres territoires francophones, l'usage d'autres sources que Bing rend la carte OSM certes globalement plus à jour, mais avec une diminution de l’homogénéité du géo-référencement des objets dans la base, tous les contributeurs ne
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Mon expérience à Madagascar (36 15 My Life pour les plus anciens...) Depuis quelques années, je travaille avec un Garmin etrex 30, captant les satellites GPS et Glonass. Des mesures répétées plusieurs jours de suite sur un point dégagé me donnent un écart type en X et Y de 1,60 m. Je pense qu'en France métropolitaine, avec les corrections Egnos, on doit être à moins d'un mètre. En tout cas, assez pour voir la différence entre WGS84 et RGF93 [1,2]. Il y a eu une période à Madagascar où je mesurais la position de points de repères sur le terrain. Ensuite, j'allais dans JOSM. Pour chaque point de repère, j'estimais le décalage. Je reportais des valeurs X et Y du décalage dans un tableur. Je faisais la moyenne des valeurs pour l'ensemble d'une ville (en faisant attention qu'il n'y ait pas juxtaposition de plusieurs vues aérienne). Enfin, dans JOSM, j'appliquais la correction moyenne. Un peu lourd puis il faut vérifier de temps à autre qu'ils n'ont pas changé l'image source avec un nouveau décalage. Maintenant, je me contente d'ouvrir la vue aérienne dans JOSM. Je fais afficher les traces GPS disponibles dans OSM. Visuellement, je recale la vue aérienne. Ça va pas mal aussi. Il faut avoir assez de traces GPS. Dans certains coins, mon problème est que j'ai trop de traces et que je ne vois plus rien ;-). Ensuite, pour un récepteur plus précis, laisse tomber le récepteur à 2 k€. Il ne fait pas grand chose de plus qu'un récepteur grand public et la précision métrique nécessite une correction comme EGNOS non disponible en Afrique. À l'instigation de Stéphane Péneau, je suis en train de me monter un enregistreur de donnée GNSS brutes [3]. Quatre constellations, bi-fréquence. 400 € de pièces, y compris la TVA payée à l'import. Il faut calculer à postériori les corrections pour avoir la meilleure précision, idéalement, par rapport à une station de référence. Stéphane a aussi fait plusieurs forks [4] (dont support bluetooth? Je ne retrouve pas). Ce n'est peut-être pas la meilleure solution pour avoir la meilleure précision possible en temps réel car il ne supporte pas les corrections SBAS (WAAS, EGNOS...). Il est vraiment fait pour travailler en différentiel, que ce soit en temps réel ou à postériori. Dans tous les cas je vais essayer d'évaluer la précision dans les différents cas de figure en France et à Madagascar. Eric [1] : https://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk-fr/2019-September/094202.html [2] : https://www.openstreetmap.org/user/StephaneP/diary/390290 [3] : https://github.com/PaulZC/F9P_RAWX_Logger [4] : https://github.com/Stefal/F9P_RAWX_Logger ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour, Merci Séverin de (re)lancer ce sujet toujours aussi problématique. Côté CartONG on a plutôt appliqué jusqu'à présent la politique soit de tracer sur le calage de l'image utilisée si pas de données pré-existantes, soit de recaler l'imagerie sur Bing dans le cas de données existantes, pour être cohérents avec ces dernières. L'idéal est bien entendu d'avoir des points de référencement pris sur le terrain. En dehors de l'hypothèse de l'achat d'un GPS submétrique, qui demanderait une organisation spécifique comme tu l'as mentionné, il reste l'option 1) d'essayer d'améliorer la précision des GPS de téléphones (nous avons publié un tutoriel, en anglais, contenant quelques techniques pour cela <https://blog.cartong.org/2019/05/03/collecting-gps-data-with-mobile-devices-tips/>), et de choisir un smartphone avec un bon capteur GPS (nous avons également fait une étude sur le sujet <https://blog.cartong.org/2019/03/18/assessment-of-the-gps-accuracy-of-mobile-devices/>, qui a mis en avant des précisions médianes allant de 2m à 5m selon les modèles, sachant que la précision est souvent encore plus mauvaise pour les marques chinoises "pas chères"... il y a donc aussi une marge importante de ce côté). Bonne journée, Martin On 14/02/2020 10:51, talk-fr-requ...@openstreetmap.org wrote: Subject: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ? From: "severin.menard" Date: 14/02/2020, 03:00 To: Discussions sur OSM en français Bonjour à tou-te-s, J'ai eu l'occasion d'en parler de manière informelle à quelques personnes et peut-être ce sujet a-t-il déjà été discuté en long et en travers sur un fil de cette liste ou sur le forum, mais je ne l'ai pas trouvé. Désolé si c'est le cas ! Après une assez longue période (en gros entre 2012 et mi 2017) pendant laquelle la communauté OSM s'est appuyée sur l'imagerie Bing pour digitaliser, l'arrivée d'autres ressources (Digital Globe en mai 2017, Esri puis Maxar remplaçant Digital Globe avec une imagerie différente, qui n'est plus disponible actuellement) a permis de bénéficier d’imageries généralement plus récentes que Bing et parfois sans nuages sur des zones qui restaient encore à digitaliser complètement. Cependant, chacune de ces images possède un géo-référencement légèrement différent, à quelques mètres pràs, sans qu'il soit souvent possible de déterminer lequel serait le meilleur à partir des traces de terminaux GPS grand public à 2-5 m de précision. En France, la convention passée entre OSM France et l'IGN permet de s'appuyer sur son imagerie dont le géo-référencement, j'imagine, peut être considéré comme faisant référence. Sur d'autres territoires francophones, l'usage d'autres sources que Bing rend la carte OSM certes globalement plus à jour, mais avec une diminution de l’homogénéité du géo-référencement des objets dans la base, tous les contributeurs ne recalant pas l’imagerie qu'ils utilisent sur le vecteur existant. La seule manière pour y remédier me semble être de constituer sur ces territoires des points de référence à l'aide de GPS sub-métriques (si d'autres approches seraient également envisageables, je suis preneur) et je cherche à identifier le matériel nécessaire et son coût pour tester un usage en Afrique Y en a-t-il parmi vous qui sont au fait côté besoins specs et matériels adaptés à ce besoin ? Un GPS submétrique me semble suffisant par rapport à un GPS centimétrique, un modèle de ce type (http://www.geo-boutique.com/product.php?id_product=11) semble faire l'affaire pour un coût qui reste encore envisageable (avec tous les accessoires nécessaires à prévoir en plus). Y a-t-il des modèles plus adaptés ? Ça fonctionne en bluetooth et est donc connectable à un Android (plutôt qu'un pocket PC qui va coûter une blinde) : y a-t-il une appli (libre de préférence) qui s'imposerait ? Par ailleurs, pour les infos du relais terrestre, il semble qu'en Afrique le seul réseau disponible soit Omnistar, dont le prix s'obtient apparemment plutôt sur devis (ce qui n'est jamais bon signe quant au coût final, même si apparemment cela peut se faire via des abonnements courts d'un mois). Quelqu'un a-t-il déjà l'opportunité d'utiliser un GPS de ce type connecté au réseau Omnistar ? Séverin ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
Re: [OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Le 14/02/2020 à 03:00, severin.menard via Talk-fr a écrit : Bonjour à tou-te-s, J'ai eu l'occasion d'en parler de manière informelle à quelques personnes et peut-être ce sujet a-t-il déjà été discuté en long et en travers sur un fil de cette liste ou sur le forum, mais je ne l'ai pas trouvé. Désolé si c'est le cas ! Après une assez longue période (en gros entre 2012 et mi 2017) pendant laquelle la communauté OSM s'est appuyée sur l'imagerie Bing pour digitaliser, l'arrivée d'autres ressources (Digital Globe en mai 2017, Esri puis Maxar remplaçant Digital Globe avec une imagerie différente, qui n'est plus disponible actuellement) a permis de bénéficier d’imageries généralement plus récentes que Bing et parfois sans nuages sur des zones qui restaient encore à digitaliser complètement. Cependant, chacune de ces images possède un géo-référencement légèrement différent, à quelques mètres pràs, sans qu'il soit souvent possible de déterminer lequel serait le meilleur à partir des traces de terminaux GPS grand public à 2-5 m de précision. En France, la convention passée entre OSM France et l'IGN permet de s'appuyer sur son imagerie dont le géo-référencement, j'imagine, peut être considéré comme faisant référence. Sur d'autres territoires francophones, l'usage d'autres sources que Bing rend la carte OSM certes globalement plus à jour, mais avec une diminution de l’homogénéité du géo-référencement des objets dans la base, tous les contributeurs ne recalant pas l’imagerie qu'ils utilisent sur le vecteur existant. La seule manière pour y remédier me semble être de constituer sur ces territoires des points de référence à l'aide de GPS sub-métriques (si d'autres approches seraient également envisageables, je suis preneur) et je cherche à identifier le matériel nécessaire et son coût pour tester un usage en Afrique Y en a-t-il parmi vous qui sont au fait côté besoins specs et matériels adaptés à ce besoin ? Un GPS submétrique me semble suffisant par rapport à un GPS centimétrique, un modèle de ce type (http://www.geo-boutique.com/product.php?id_product=11) semble faire l'affaire pour un coût qui reste encore envisageable (avec tous les accessoires nécessaires à prévoir en plus). Y a-t-il des modèles plus adaptés ? Ça fonctionne en bluetooth et est donc connectable à un Android (plutôt qu'un pocket PC qui va coûter une blinde) : y a-t-il une appli (libre de préférence) qui s'imposerait ? Par ailleurs, pour les infos du relais terrestre, il semble qu'en Afrique le seul réseau disponible soit Omnistar, dont le prix s'obtient apparemment plutôt sur devis (ce qui n'est jamais bon signe quant au coût final, même si apparemment cela peut se faire via des abonnements courts d'un mois). Quelqu'un a-t-il déjà l'opportunité d'utiliser un GPS de ce type connecté au réseau Omnistar ? Séverin Le SX Blue à 2000€ HT, ça fait quand même un beau budget et surtout c'est une techno un peu ancienne et pas forcément adaptée. Pas sûr qu'il donne les résultats escomptés en Afrique car il dépend de signaux WAAS ou EGNOS qui ne sont pas forcément disponibles partout. Sans ces signaux de correction, il faut soit faire un moyennage sur une position fixe sur un temps long, soit passer en multi-bande (la majorité des GPS sont mono-bande, c'est à dire qu'ils n'utilisent qu'une seule fréquence de signal alors que les sat en émettent 2). uBlox a sorti une nouvelle série de récepteurs qui gère le multi-bande, le F9 ... Drotek propose un récepteur basé dessus: https://drotek.com/drotek-launches-f9p-sirius-base/ Le coût ? 400€ (TTC) https://store.drotek.com/sirius-rtk-gnss-base-f9p 200€ le chip seul, à intégrer... https://store.drotek.com/rtk-zed-f9p-gnss -- Christian Quest - OpenStreetMap France ___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr
[OSM-talk-fr] Création de points de référence pour calage des imageries satellites - quelle approche et quel matériel ?
Bonjour à tou-te-s, J'ai eu l'occasion d'en parler de manière informelle à quelques personnes et peut-être ce sujet a-t-il déjà été discuté en long et en travers sur un fil de cette liste ou sur le forum, mais je ne l'ai pas trouvé. Désolé si c'est le cas ! Après une assez longue période (en gros entre 2012 et mi 2017) pendant laquelle la communauté OSM s'est appuyée sur l'imagerie Bing pour digitaliser, l'arrivée d'autres ressources (Digital Globe en mai 2017, Esri puis Maxar remplaçant Digital Globe avec une imagerie différente, qui n'est plus disponible actuellement) a permis de bénéficier d’imageries généralement plus récentes que Bing et parfois sans nuages sur des zones qui restaient encore à digitaliser complètement. Cependant, chacune de ces images possède un géo-référencement légèrement différent, à quelques mètres pràs, sans qu'il soit souvent possible de déterminer lequel serait le meilleur à partir des traces de terminaux GPS grand public à 2-5 m de précision. En France, la convention passée entre OSM France et l'IGN permet de s'appuyer sur son imagerie dont le géo-référencement, j'imagine, peut être considéré comme faisant référence. Sur d'autres territoires francophones, l'usage d'autres sources que Bing rend la carte OSM certes globalement plus à jour, mais avec une diminution de l’homogénéité du géo-référencement des objets dans la base, tous les contributeurs ne recalant pas l’imagerie qu'ils utilisent sur le vecteur existant. La seule manière pour y remédier me semble être de constituer sur ces territoires des points de référence à l'aide de GPS sub-métriques (si d'autres approches seraient également envisageables, je suis preneur) et je cherche à identifier le matériel nécessaire et son coût pour tester un usage en Afrique Y en a-t-il parmi vous qui sont au fait côté besoins specs et matériels adaptés à ce besoin ? Un GPS submétrique me semble suffisant par rapport à un GPS centimétrique, un modèle de ce type (http://www.geo-boutique.com/product.php?id_product=11) semble faire l'affaire pour un coût qui reste encore envisageable (avec tous les accessoires nécessaires à prévoir en plus). Y a-t-il des modèles plus adaptés ? Ça fonctionne en bluetooth et est donc connectable à un Android (plutôt qu'un pocket PC qui va coûter une blinde) : y a-t-il une appli (libre de préférence) qui s'imposerait ? Par ailleurs, pour les infos du relais terrestre, il semble qu'en Afrique le seul réseau disponible soit Omnistar, dont le prix s'obtient apparemment plutôt sur devis (ce qui n'est jamais bon signe quant au coût final, même si apparemment cela peut se faire via des abonnements courts d'un mois). Quelqu'un a-t-il déjà l'opportunité d'utiliser un GPS de ce type connecté au réseau Omnistar ? Séverin___ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr