Le mercredi 24 juin 2009 à 12:32 +0200, Alexandre Archambault a écrit : > Ne mélangeons pas les genres : si l'intervention publique est légitime > et > justifiée pour servir de relai ou de facilitateur à l'initiative > privée, > elle doit se borner au plus petit dénominateur commun, en l'occurrence > les > infrastructures de génie civil (conduites / fourreaux / appuis > aériens / > infrastructures d'accueils & bâtiments), à la rigueur du passif > uniquement > si cela permet de répliquer au niveau local ce qui est disponible plus > globalement.
Ça serait déjà pas mal, avec une infrastructure de fourreaux et de passages calibrés largement partout où on construit et où on refait les routes, on ferait à la fois des économies globales et on éviterait de faire des zoli troü contre-productifs dans les chaussées anti-bruit neuves. Pour l'aérien, je suis assez d'accord, mais avec une politique réglementaire assez stricte quand même et une obligation de partager les poteaux, cherchez des photos sur le Japon, vous comprendrez ce que je veux dire par là. amicalement -- Jérôme <jer...@aranha.fr> --------------------------- Liste de diffusion du FRnOG http://www.frnog.org/