> Le 2017 Meur. 17 à 01:02, Philippe Verdy <verd...@wanadoo.fr> a écrit :
> 
> 
> Tu viens de remarquer "train régional" (inclut les RER ou TER, relayés ou 
> souvent assurés aussi par car; et là ça rentre dans les compétences 
> exclusives des transports urbains sur leur domaine!)
> 
> Pour la plupart des lignes régionales, hormi les liaisons directes longue 
> distance, on ne peut pas les distinguer (et de même leur route suivie n'est 
> pas significative, seule comptent les deux points de départ et d'arrivée.
> 
> Je dirait donc que dans la quasi totalité des cas, les relations "route" ne 
> sont alors QUE des "route=bus" si on suit ta logique…

Prenons la question par l’autre bout (pour la France).

Jusqu’à la loi Macron, les lignes longues distance vers l’étranger (Eurolines 
et d’autres), n’avaient pas le droit de faire du cabotage (i. e., avoir des 
arrêts intermédiaires) avant d’atteindre une frontières.
Désormais, non seulement, c’est possible, mais des lignes intra peuvent être 
créées, du moment qu’elle font des étapes d’au moins 100 km.

Nonostant le fait qu’en français, le bus désigne le plus souvent des lignes 
locales à grande fréquence et les cars des lignes plus longues, mais toujours 
intradépartementales (sauf cars SNCF), li semble approprié de réserver la 
valeur « coach » aux lignes internationales et aux lignes interrégionales 
créées par la loi Macron.

Elles n’ont qu’un nombre limité d’opérateurs et, en fait, il s’agit précisément 
des lignes, dont l’État est l’autorité organisatrice.

Ce qui pourra poser problème, c’est que, si les régions reprenaient les lignes 
départementales, elles pourraient créer des lignes régionales, puis 
interrégionales.
Mais, à chaque jour suffit sa peine.


Christian R.
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