> Le 2017 Gwen. 13 à 21:31, Bruno <pa...@free.fr> a écrit :
> 
> Le 13/09/2017 à 19:44, Christian Rogel a écrit :
>> A Bruno et Vladimir,
>> 
>> Si l’on continue à définir le contenu de « name » comme étant dans une 
>> langue particulière, on accentue artificiellement les antagonismes possibles 
>> et on pave le chemin pour des dérives.
> Et bien oui le champ name est obligatoirement dans une langue particulière , 
> ce n'est pas artificiel c'est juste logique et officiel , les dérives 
> viennent de ceux qui veulent y mettre autre chose..
> Le nom de la ville de Toulouse c'est Toulouse, tous les panneaux n'ont pas la 
> double écriture Français/Occitan, donc pourquoi l'imposer ? c'est de la 
> politique , rien d'autre. Le jour où la France sera multilingue et bien on 
> changera tout ça.
>> La régle est pourtant simple : on met dans le « name » ni plus, ni moins que 
>> ce que l’autorité compétente a décidé.
> Comme dit plus haut , tous les panneaux Toulouse (toujours par exemple) n'ont 
> pas la double écriture, on fait quoi ? 
>> Si demain, une rue reçoit un nom comportant du zoulou, cela ira sans 
>> problème dans le « name ». 
> Bien sûr si demain une rue s’appelle "rue zingging" elle sera nommée comme 
> cela dans OSM ( pas "carrièrazinging"), sauf que Toulouse s'appelle comme 
> cela en Français et Tolosa en Occitan (deux langues = deux tags)

Bruno,


J’ai volontairement pris des exemples exclusivement dans les noms de voie, 
parce qu’il y a un léger principe d’incertitude du fait des attitudes 
divergentes des autorités municipales (dans le temps, l’espace et la 
signification des noms) et tu me ramènes à l’exemple de Toulouse qui ne pose 
aucune espèce de question : il y a le COG et circulez, il n’y a plus rien à 
voir.

L’usage d’OSM est de suivre sans discussion le COG et donc d’effacer les 
doubles appellations ou les transformations éventuelles.
Il n’y a même pas besoin de demander l’avis des contributeurs fautifs. Si les 
Basques ou les Occitans le faisaient massivement, nous, communauté française 
ferions le ménage avec l’appui d’un bot ou du DWG, s’il le faut.

Pour mémoire, le COG concerne bien plus que les unités administratives, mais 
aussi les principaux cours d’eau, les grands éléments gégraphiques du relief, 
etc.

Et inutile de s’exciter à propos de décisions communales concernant 3 ou 4 
millionnièmes de la masse des appellations.


Christian R.
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