Je ne sais pas si F. Cahours parlai de ce risque là :) mais plutôt des autres risques environnementaux (voisins, public, autres usagers de l'espace aérien ...)

Pat_2b


Le 21/06/2016 à 00:12, Paul Orange a écrit :
Et oui, pour vivre heureux vivons cachés, et si on déclare nos pentes elle ne le seront plus !

Et comme le dit justement François Cahour, plus on s'élève en altitude, moins le risque est important...... la maréchaussée n'ayant pas vocation à se fatiguer inutilement.
Ceci dit, il reste les GHM et chasseurs alpins  ;–)))
Paul

Emis depuis un GSM

Le 21 juin 2016 à 00:04, Guy Revel <guyre...@volny.cz <mailto:guyre...@volny.cz>> a écrit :

Salut,

Je pense que l'idée initiale était d'inclure les "drones" (les multicoptères) dans le modélisme afin de profiter de la mode naissante et d'éviter l'apparition d'une organisation autonome et en quelque sorte concurrente. Le résultat, semble-t-il, est que les deux sont maintenant indissolublement liés et que les réglementations à venir vont difficilement pouvoir séparer les deux. On voit déjà que cela met pratiquement à mort le vol libre et le vol de pente, car pour faire homologuer une pente il faut d'abord obtenir l'autorisation des propriétaires et vous savez comme moi à quel point c'est difficile, voire impossible. Si "quelques" pentes demeurent utilisables à la parution des décrets, en principe dans un an, ce sera déjà une grande victoire.

Guy R.

Le 20/06/2016 à 23:52, Denis a écrit :/
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/C'est délicat, si la fédé ne communique pas, on va dire qu'elle fait rien, si elle dit que l'accord est pourri, ceux qui négocient avec elle risquent de mal le prendre; A mon avis, il faut attendre et voir./

/Bien sûr, je ne prétend pas détenir la vérité, mais j'aimerais ne pas me tromper.//
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/Den//
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/Le 20/06/2016 à 22:34, Jérôme Roger a écrit ://
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/Je ne pense pas non plus que la fédération ait manoeuvré contre ses membres, je pense même qu'ils se sont bien battus.// //Ce qui me dérange c'est leur com qui crie plus ou moins victoire alors que les meubles ne sont pas sauvés, que l'activité est virtuellement mise sous cloche et qu'on se saura à quoi s'en tenir qu'à la sortie des décrets d'application, c'est à dire trop tard./



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