[3type] =?ISO-8859-1?Q?int=E9r=EAt?=

2005-06-18 Par sujet Philippe Ruelen



Dans son texterdig pour le congrs, Bernard insiste 
sur le mot "intrt".
Pour que l'enfant entre dans une activit, il faut qu'il y 
trouve un intrt.

Je suis bien d'accord avec a, mais que penser d'un enfant qui 
a trouv un intrt  entrer dans une activit  un moment donn mais qui le 
lendemain, ne trouvant visiblement plus le mme intrt, se retire de cette 
activit. Lorsqu'il s'agit de dcouvrir, d'explorer un outil, un coin ..., a ne 
m'embte pasmais lorsqu'il abandonne une production, a m'embte ! ou, du 
moins, je me dis qu'on ne l'aide pas en lui permettant de zapper  tout va (ce 
qu'on avait dj voqu au stage de Belley l'anne dernire)

Je pense qu'une fois que l'enfant s'est engag dans une 
activit dont on a connaissance (d'autant plus s'il a eu besoin de notre aide 
!), il doit la terminer au mme titre d'ailleurs qu'un engagement pris devant le 
groupe.

A nous alors de construire un ou plusieurs outils pour lui et 
nous permettre d'avoir un suivi deces activits

Je suis en train d'y voir plus clair et donc en train 
d'ajuster (tout en les testant avec les enfants) quelques outils 
(affichage).

Je vais mettre mon site perso  jour pour prendre en compte 
les avances des dernires semaines.
Bref, j'ai pas mal de boulot intressant  faire en ce 
moment.

Pour le congrs, il va falloir galement qu'on s'y attelle car 
on a la chance d'avoir une salle  notre disposition avec un ordi, une tl et 
un magntoscope. j'espre que vous continuez  filmer vos classes. J'ai pour 
l'instant 2 petits films de ma classe, + le Grand Conseil de 
l'cole.
Je vais crer une liste de diffusion spcifique pour prparer 
tout a avec ceux qui se rendront au congrs et qui sont intresss pour grer 
cette salle.

A+

Philippe Ruelen



[3type] =?iso-8859-1?b?UmU6WzN0eXBlXSBpbnTpcup0?=

2005-06-18 Par sujet Sylvain Connac
Bonjour  tous,

Je suis assez d'accord avec Philippe que le fait de s'tre vu
confier par le groupe une fonction prcise (souvent  la place
d'autres intresss) fait office d'engagement.

En ce qui concerne le suivi de ces projets, nous disposons de
cinq outils :
- les plans de travail individuels (ou penses-btes)
- le plan de travail collectif (un tableau velleda compos
d'autant de cases que d'enfants, sur lequel on crit les
divers travaux  effectuer et que l'on actualise au fur et 
mesure de leur ralisation)
- un tableau nos projets qui correspond  un chancier 
disposition de tous regroupant ce qui est cens intresser le
groupe dans sa globalit
- un planning mural rempli en fonction des rendez-vous pris
lors des runions
- un tableau des mtiers modifi lors des conseils

Cooprativement

 Sylvain


 Dans son texte rdig pour le congrs, Bernard insiste sur
le mot intrt.
 Pour que l'enfant entre dans une activit, il faut qu'il y
trouve un intrt.

 Je suis bien d'accord avec a, mais que penser d'un enfant
qui a trouv un intrt  entrer dans une activit  un moment
donn mais qui le lendemain, ne trouvant visiblement plus le
mme intrt, se retire de cette activit. Lorsqu'il s'agit de
dcouvrir, d'explorer un outil, un coin ..., a ne m'embte
pas mais lorsqu'il abandonne une production, a m'embte ! ou,
du moins, je me dis qu'on ne l'aide pas en lui permettant de
zapper  tout va (ce qu'on avait dj voqu au stage de
Belley l'anne dernire)

 Je pense qu'une fois que l'enfant s'est engag dans une
activit dont on a connaissance (d'autant plus s'il a eu
besoin de notre aide !), il doit la terminer au mme titre
d'ailleurs qu'un engagement pris devant le groupe.

 A nous alors de construire un ou plusieurs outils pour lui
et nous permettre d'avoir un suivi de ces activits

 Je suis en train d'y voir plus clair et donc en train
d'ajuster (tout en les testant avec les enfants) quelques
outils (affichage).

 Je vais mettre mon site perso  jour pour prendre en compte
les avances des dernires semaines.
 Bref, j'ai pas mal de boulot intressant  faire en ce
moment.

 Pour le congrs, il va falloir galement qu'on s'y attelle
car on a la chance d'avoir une salle  notre disposition avec
un ordi, une tl et un magntoscope. j'espre que vous
continuez  filmer vos classes. J'ai pour l'instant 2 petits
films de ma classe, + le Grand Conseil de l'cole.
 Je vais crer une liste de diffusion spcifique pour
prparer tout a avec ceux qui se rendront au congrs et qui
sont intresss pour grer cette salle.

 A+

 Philippe Ruelen



Sylvain CONNAC
Ecole cooprative Antoine BALARD
123, rue de Salamanque
34 080 MONTPELLIER
sylvain.connac(antispam)laposte.net

Accdez au courrier lectronique de La Poste : www.laposte.net ; 
3615 LAPOSTENET (0,34?/mn) ; tl : 08 92 68 13 50 (0,34?/mn)





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[3type] Apprentissage

2005-06-18 Par sujet Sylvain Connac
Lundi prochain, le projet des classes uniques  l'cole Balard
va faire l'objet d'une discussion entre les reprsentants
locaux de l'EN, quelques chercheurs du dpartement de sciences
de l'ducation de Montpellier et les enseignants impliqus
dans ce projet.
Afin de prciser en quoi cette approche est spcifique, nous
avons rdig un texte qui fixe quelques repres
caractritiques de l'acte d'apprendre.

Qu'en pensez-vous ?

Cooprativement

Sylvain



Sylvain CONNAC
Ecole cooprative Antoine BALARD
123, rue de Salamanque
34 080 MONTPELLIER
sylvain.connac(antispam)laposte.net



REPERES POUR UN SUIVI DES CLASSES UNIQUES ET COOPERATIVES

Si lon conoit lcole comme un lieu quitaire visant plus
les acquisitions durables que la slection dune lite
scolaire, un ducateur est quelquun qui se rfre  une
dfinition prcise du concept dapprentissage. Or les
dernires recherches ne sont pas encore parvenues  en tablir
une qui fasse consensus dans les mondes scientifiques et
ducatifs.
Pourtant, lagir pdagogique ncessite, au moins de manire
implicite, un recours  des repres caractrisant lacte
dapprendre. A ce jour, plusieurs systmes cohrents
coexistent.
Dans cette optique, nous avons choisi de nous appuyer sur une
dfinition inspire de lhistoire des pdagogies coopratives, 
en particulier de loeuvre de Clestin Freinet et des pionniers
de la pdagogie institutionnelle. Il se trouve que ces repres
sont en parfaite cohrence avec la thorie de lapprentissage
par la construction des langages dveloppe par Bernard COLLOT
et avec les dernires recherches menes en neurobiologie.
En consquence, le projet des classes uniques et coopratives
conduit  lcole lmentaire Antoine BALARD sappuie sur les
dterminants suivants pour dfinir lacte dapprendre :
1 - apprendre correspond  une modification durable de la
structure neurobiologique initiale.
2 - cette modification est le fruit dun travail intellectuel
appartenant au sujet apprenant.
3 - les facteurs qui favorisent cette modification semblent
tre :
-   La disponibilit psychique et physiologique du sujet
apprenant : son aptitude  se rendre attentif au moment de la
situation dapprentissage. Cette disponibilit fait rfrence
 un climat de scurit ncessaire  lpanouissement de tous,
cette scurit passant par un recours  un systme de rgles
sociales comprises, discutes et rvisables par tous ;
-   La disponibilit cognitive du sujet apprenant lie aux
caractristiques des informations  traiter (facteur en lien
avec le concept de zone de proche dveloppement). Cette
disponibilit est dautant plus prsente que les activits en
cours font sens pour lenfant et peuvent conduire  des
situations de communication ;
-   Une estime de soi base sur une capacit personnelle 
se considrer comme tre pensant, auteur et acteur de son
existence. Cette conviction peut difficilement clore dans une
relation pdagogique inhibitrice qui voit lactivit de
llve dpendre de celle de son enseignant ;
-   la prise en compte de ce que les didacticiens nomment
les  reprsentations , cest  dire lexpression de la
structure neuro-cognitive initiale ;
-   une correspondance entre les questions que se pose
lenfant et la nature des informations quil est amen 
traiter ;
-   un choix possible quant aux activits  raliser, en
particulier pour celles relatives aux profils
dapprentissages ;
-   la multiplicit des sollicitations et la rcurrence de
leur recours. Cette multiplicit concerne aussi bien la nature
des informations que les personnes qui peuvent en tre les
vecteurs ; il est ici question des situations de coopration
o les pairs peuvent devenir des sources dinformations ;
-   Le droit  lerreur qui optimise le dsir de sengager
dans des actions mme si on sait quelles peuvent conduire 
des impasses.

4 - la durabilit des apprentissages est dveloppe par
lintermdiaire de :
-   la multiplicit des sollicitations et la rcurrence de
leur recours ;
-   un rapport  la complexit des savoirs, ce qui vite
la confrontation  des comptences didactises et autorise
ladidactisme (concept dvelopp par Brousseau) ;
-   diverses situations denseignement vcues selon divers
points de vue. La coopration entre enfants est aussi
loccasion pour ceux tant en position dexperts de mobiliser
une nouvelle structure cognitive de manire  ce quelle
puisse correspondre  celle existante chez des enfants
demandeurs ;
-   un allongement de la dure  anne scolaire 
entranant un allgement de cette contrainte temporelle.

Pour entrer en cohrences avec cette conception de lacte
dapprendre, un dispositif pdagogique a t mis en place.
Ainsi, les enfants sont amens  apprendre  travers :
-   lentretien dun systme de rgles sociales
garantissant la scurit et le respect de chacun. Par
lintermdiaire dun conseil coopratif quotidien et le jeu
des propositions-critiques-remerciements, les enfants sont
amens  entrer dans une logique dauto-organisation de leur
vie scolaire ;
-   la dtermination, le suivi et le bilan de plans de
travail individuels et collectifs. Grce  ces 

[3type] =?ISO-8859-1?Q?=20int=E9r=EAt?=

2005-06-18 Par sujet Berangere93
Dans un e-mail dat du 18/06/2005 17:35:37 Paris, Madrid (heure d't), [EMAIL PROTECTED] a crit :

Salut Sylvain,

Peux-tu m'indiquer la diffrence entre les 2 et donner des exemples ,stp ?

A +

Brangre


- le plan de travail collectif (un tableau velleda compos 
d'autant de cases que d'enfants, sur lequel on crit les 
divers travaux  effectuer et que l'on actualise au fur et  
mesure de leur ralisation)
- un tableau "nos projets" qui correspond  un chancier  
disposition de tous regroupant ce qui est cens intresser le 
groupe dans sa globalit




=?ISO-8859-1?Q?Re:[3type]_int=E9r=EAt?=

2005-06-18 Par sujet Philippe Ruelen

** Message **

On 18/06/2005 at 17:35 Sylvain Connac wrote:

Bonjour  tous,

Je suis assez d'accord avec Philippe que le fait de s'tre vu
confier par le groupe une fonction prcise (souvent  la place
d'autres intresss) fait office d'engagement.

Et au sujet des projets que l'enfant entame de lui-mme sans qu'il soit confi 
par le groupe ? Penses-tu galement qu'on doit les aider  les mener  terme 
(un expos par exemple) ?

En ce qui concerne le suivi de ces projets, nous disposons de
cinq outils :
- les plans de travail individuels (ou penses-btes)

PR : Chez nous, a marche de moins en moins bien.
Du coup, c'est moi qui gre un rcapitulatif sous la forme d'un affichage 
quotidien des projets entams (associs  des activits pour les mener  terme) 
pour chaque enfant.  Bref, un gros pense-bte. Il n'est videmment pas exaustif 
puisque les enfants font galement d'autres activits en fonction de l'intrt 
du moment. Mais, il est l pour leur rappeler les projets entams dont j'ai 
connaissance. Lorsqu'ils ont ralis une activit  l'un des ces projets, ils 
la surlignent. Je fais le point tous les soirs, et modifie ce gros pense-bte.

PR : Lors de ma runion avec les parents hier soir, Mme Montagnier, seule 
prsente, m'a fortement aid quant au souci que j'avais  la fin de la journe. 
Que faire pour que les enfants terminent ces projets lists ? En d'autre terme, 
et pour faire plus clair, que faire des enfants qui veulent fuir ces projets 
entams ?
Encore une fois, c'est elle qui m'a apport une solution plus convenable  ce 
que j'allais faire. Plutt que de pointer ceux qui ne les continuent pas, je 
vais valoriser en crivant en bas de ce gros pense-bte Flicitations  ??.. 
qui ont termin un ou plusieurs projets personnels.

PR : En plus de cet outil, j'en ai mis un autre en place qui me donne 
satisfaction car il me rassure (surtout pour les maths). Je suis bien conscient 
que ce n'est pas un outil qui les aide  s'organiser mais plutt  
orienter/cadrer. Difficile de dcrire tout a ici mais le message de Sylvain 
m'a pouss  ragir sans doute un peu trop tt car je suis en train de tout 
mettre  plat en modifiant mon site perso. Ce sera sans doute plus clair avec 
les diffrents outils tlchargeables.
Je tente d'expliquer quand mme :
Je leur avais dit qu'ils allaient  l'cole pour progresser notamment en 
lecture/math/crit, que c'tait important. Bien sr, j'ai fait gaffe pour ne 
pas trop dvaloriser la technologie, l'histoire, la gographie, la musique, 
l'EPS et les sciences. Pas facile ...
Du coup, chaque jour, j'affiche un tableau et en face de chaque prnom, des 
cercles  colorier. Un cercle par discipline regroupant parfois plusieurs 
ateliers : lecture math crit/lettre et mot 
histoire/gographie/sciences technologie Arts Plastiques/Musique/Anglais. 
Ils doivent au moins colorier les 3 premiers cercles tous les jours. Pour le 
colorier, il suffit d'avoir fait quelque chose dans le domaine associ. Bon, 
mais bien videmment, le soucis tait que faire lorsque, pour certains, les 3 
cercles n'taient pas coloris ?
Vendredi soir, j'ai expos cet autre souci  Mme Montagnier. M'est revenue 
alors le carton jaune que j'avais donn je ne sais plus quand (l'anne dernire 
ou l'anne d'avant)  et surtout plus pourquoi ! sur un ton plus ou moins 
humoristique. Les enfants avaient souvent rutilis le terme. Bref, l'image 
vhicule n'avait pas t ngative tout en pointant cependant un 
dysfonctionnent. Du coup, j'ai dcid de le tester ds la semaine prochaine. 
Mme Montagnier m'a aid  affiner le truc, je vous pargne les dtails. Ce qui 
est vachement bien avec Mme Montagnier, c'est que, lorsque je suggre une ide, 
elle a le don naturel de se mettre trs facilement  la place de l'enfant. Elle 
n'a pas eu de jugement ngatif sur cette ide. Ce serait trop long de vous dire 
toutes les ides que j'ai eu et que j'ai rapidement cart en coutant ses 
impressions.


- le plan de travail collectif (un tableau velleda compos
d'autant de cases que d'enfants, sur lequel on crit les
divers travaux  effectuer et que l'on actualise au fur et 
mesure de leur ralisation)

PR : En gros, c'est mon gros pense-bte dcrit ci-dessus.
Du fait de la prsence de cet outil, les enfants de ta classe, Sylvain, 
voient-il un intrt  utiliser/remplir leur plan de travail personnel ?

- un tableau nos projets qui correspond  un chancier 
disposition de tous regroupant ce qui est cens intresser le
groupe dans sa globalit

PR : du genre les concours de dessins via la liste Marelle ?
Quoi d'autres ?

- un planning mural rempli en fonction des rendez-vous pris
lors des runions

PR : J'ai a aussi. C'est leur emploi du temps qu'ils grent via les dcisions 
prises en runion.

- un tableau des mtiers modifi lors des conseils

PR : J'ai a aussi. A un moment donn, le tableau des mtiers avait disparu, 
mais, comme c'est devenu petit  petit la pagaille et que je devais ranger la 
classe le soir, je leur ai dit et leur ai propos de remettre les mtiers. 
Lorsque l'on a une ide d'un mtier, on 

[3type] =?iso-8859-1?b?UmU6WzN0eXBlXSBpbnTpcup0?=

2005-06-18 Par sujet Sylvain Connac
Bonjour  tous,

BL : Peux-tu m'indiquer la diffrence entre les 2 et donner
des exemples ,stp ?
PR : Du fait de la prsence de cet outil, les enfants de ta
classe, Sylvain, voient-il un intrt  utiliser/remplir leur
plan de travail personnel ?

SC : le plan de travail collectif comprend le travail
individuel de chaque enfant qui a fait l'objet d'une
rpartition dans le groupe. On y trouve par exemple, le titre
des articles  crire, les ouvrages confis, les exposs 
prparer, les courrier  envoyer, ...
Le tableau nos projets dresse une liste de ce qui peut
intresser tous les enfants de la classe et en rappelle la
date de fin : les concours Marelle, les sorties, les accueils
dans la classes, les dfis, ...
Dans le plan de travail individuel, les enfants reprennent ce
qui est inscrit sur le plan de travail collectif (c'est
visuellement difficile  lire de l'autre ct de la classe)
ainsi que le travail correspondant  leurs avances
spcifiquement scolaires, en occurence les entranements 
effectuer et les ceintures  passer.

PR : Et au sujet des projets que l'enfant entame de lui-mme
sans qu'il soit confi par le groupe ? Penses-tu galement
qu'on doit les aider  les mener  terme (un expos par
exemple) ?

SC : je le pense aussi mme si dans les faits, ce n'est pas
une question que je gre. Lorsqu'un enfant souhaite abandonner
un projet inscrit dans son plan de travail, il en fait la
demande  la runion. Il peut arriver que sa demande soit
accepte, qu'elle soit refuse mais son projet modifi ou
qu'elle soit entendue par un autre qui dcide de le remplacer.

PR : Chez nous, a marche de moins en moins bien. Du coup,
c'est moi qui gre un rcapitulatif sous la forme d'un
affichage quotidien des projets entams (associs  des
activits pour les mener  terme) pour chaque enfant.  Bref,
un gros pense-bte. Il n'est videmment pas exaustif puisque
les enfants font galement d'autres activits en fonction de
l'intrt du moment.


SC : Il doit y en avoir certainement de ces activits qui
dpendent de l'intrt du moment mais une rgle implicite est
en cours : est prioritaire ce qui se trouve sur les plans de
travail. En d'autres termes, on ne peut pas participer  tel
ou tel atelier sans avoir termin le travail  effectuer sur
les plans de travail.

J'ai aussi lu ton ide de rpartition de la parole  partir du
dernier  l'avoir eu. Je n'ai jamais test ce type de
dispositif qui me semble intressant parce qu'il propose une
alternative quitable  la fonction de prsidence. Je me
demande tout de mme comment le groupe va tre en mesure de
s'auto-organiser pour ne pas tomber dans ce qu'on nomme
des tas de sable, c'est  dire des sujets qui gagneraient 
tre traits en dehors des runions ou conseils.

Cooprativement

Sylvain



Sylvain CONNAC
Ecole cooprative Antoine BALARD
123, rue de Salamanque
34 080 MONTPELLIER
sylvain.connac(antispam)laposte.net

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