Ah non non, habitant en Alsace je t'affirme que c'est bel et bien une zone sinistrée pour l'IT.

J'ai personnellement galéré deux ans avant de trouver un poste… mais pas en Alsace.


Le 02/06/2017 à 12:15, Joël DEREFINKO a écrit :
Pour étayer mon propos :
Recherche au hasard de "administrateur" à Strasbourg  + 40 km de rayon...
=> 2 annonces!
https://www.monster.fr/emploi/recherche/?q=administrateur&where=67000&cy=fr&intcid=swoop_HeroSearch_FR&rad=40

(et c'est pour de la BDD)

Finalement, peut-être que c'est moi qui me trompe, et l'Alsace est bien une 
zone sinistrée pour l'IT.

Joël

-----Message d'origine-----
De : frnog-requ...@frnog.org [mailto:frnog-requ...@frnog.org] De la part de 
Joël DEREFINKO
Envoyé : vendredi 2 juin 2017 12:12
À : Colin J. Brigato <co...@brigato.fr>; frnog@frnog.org; Olivier Vailleau 
<olivier.vaill...@gmail.com>
Objet : RE: [MISC] Re: [FRnOG] [JOBS] Ingénieurs et Consultants Réseaux 
(Avant-vente et Déploiement/Prestation)

Alors oui, c’est un cas particulier qui étaye le propos du « en province c’est 
pas 3000 € », tout comme il y en a certainement qui pourrait dire « oui, 3000€ 
en province c’est possible ».
Je n’en fais pas une généralité, je parle simplement d’un cas qui m’est proche.

Je comprends ton point de vue et je suis le premier choqué par les montants que 
je t’annonce.
Malheureusement, je ne les ai pas exagérés.

Son poste aujourd’hui est un poste de gestionnaire de parc parce qu’il n’a 
réussi à qu’à trouver ça, après 5 ans de technicien itinérant pour des 
sous-traitant des grands opérateurs (câblage dans les DSLAM, installation de 
box ADSL, déploiement de PC, etc…), il a terminé sur les rotules à force de 
passer 6h par jour en bagnole (à un moment il couvrait le triangle 
Metz/Nancy/Strasbourg + un peu le sud de l’Alsace).
Niveau qualification, il sort d’un DUT GTR (comme moi d’ailleurs).

Pourtant c’est pas faute de chercher ailleurs, mais il galère vraiment. Son 
profil y est certainement pour quelque chose, d’autant que plus le temps passe, 
plus il « s’éloigne » des canons du métier (DevOps, virtu etc, la liste peut 
être longue).

Il suffit de regarder les sites d’offres d’emploi, faire une recherche sur 
Alsace/IT/SysAd ou technicien Sys/Res, la liste d’offre est dramatiquement 
courte.
Les dernières fois que j’ai regardé par curiosité les postes de responsable 
info/manager, soit il n’y en avait pas, soit on cherchait un mec avec 10+ 
années d’expérience pour le payer 45 k€ bruts.

Donc c’est un cas particulier, mais j’ai bien peur qu’il ne soit pas isolé.

Joël

De : Colin J. Brigato [mailto:co...@brigato.fr]
Envoyé : vendredi 2 juin 2017 11:25
À : Joël DEREFINKO <joel.derefi...@118218.fr>; frnog@frnog.org; Olivier Vailleau 
<olivier.vaill...@gmail.com>
Objet : RE: [MISC] Re: [FRnOG] [JOBS] Ingénieurs et Consultants Réseaux 
(Avant-vente et Déploiement/Prestation)

Sans vouloir trop appuyer sur le “cas parfait correspondant au besoin” qui pope 
pile la, comme ca, avec des chiffres sur de sur (bin oui c’est la famille)…
Comment se peut-il toucher 1300e net par mois ?
meme 1600e.

10 ans d’experience. Il prend un temps plein au hasard en CDI, le premier qu’il 
arrive a avoir (et bien que concentrées a paris, encore une fois, rien 
n’empeche le télétravail, surtout si l’on a 10 années d’exp a faire valoir, on 
doit savoir le faire valoir.). Gageons qu’il tombe sur une Syntec.
Bon ben de base rien que par les grilles des minimas prévus par la Syntec il 
gagne déja plus que ce que tu annonce !  Meme cette grille ineptique (j’rapelle 
que le bas de l’ETAM contient un minima _inférieur au smic) avoisine rapidement 
1800, et 2264 en haut d’etam.
Si même cette grille trollesque envoi plus fort que ce que ton frere gagne 
apres 10 années d’exp, vu, en effet la différence à ce stade prodigieuse entre 
la province et la capitale, a moins d’avoir de sérieuses raison, autant 
déménager hein.

Bref, l’éxagération, toujours l’exagération. Ou alors des infos ont disparues 
(précarité du statut, whatever, auquel cas fournir un chiffre mensuel sous 
cette forme est trompeur).
  Puisque (et j’en doute pas) la dichotomie et si tangible entre les deux 
mondes, pourquoi décrédibiliser l’argumentaire ?

Si on va pars la, moi j’ai mes potes qui sont restés a bordeaux, certains n’ont 
qu’un BTS IG la bas et ils sont resté sur la Gironde avec une quote apres 5 
années pour du “Technicien support” et “Administration de parc” entre 
1800e/mois fourchette basse a 2600e/mois fourchette haute, net primes non 
comptées. Et ca leur parait correct.



                                    - Colin J. βrigato -

   ¥ngénieur Σystème & Δirecteur de Projet
                                      ✆ 06 43 19 33 49


On 2 June 2017 at 10:49:37, Joël DEREFINKO 
(joel.derefi...@118218.fr<mailto:joel.derefi...@118218.fr>) wrote:
Bonjour,

Je confirme, les salaires IT en province sont bien loin des 3000 € nets, et des 
2000 € aussi d'ailleurs.

Je prends l'exemple de mon frère, sur Strasbourg, qui galère pour trouver un poste 
d'admin sys/réseau, qui n'a pu trouver que dans des SSII, pardon, "ESN", et qui 
jusqu'à peu touchait.... 1300 € nets (10 ans d'exp)...
Il a changé de crémerie et pu revoir son salaire à la hausse (grâce un contexte favorable 
: changement de presta chez le client, et le client voulait "garder" certains 
consultants déjà en place)... tadaaaa, un royal 1600 € par mois.

Avant ce changement de boite, il regardait avec envie son beau-frère qui 
travaille chez Kraft Foods (Mars, barres glacées, etc...) en usine en Alsace 
également et qui a un job qu'on pourrait presque qualifier de royal :
- En période "haute" (janvier-juillet) il bosse 7j sur 8 en 4x8 car il faut 
produire les stocks pour l'été, pour 2300 € nets par mois.
- De aout à décembre, il est payé 1400 € par mois sans travailler, en 
compensation du régime intensif ci-dessus... et Kraft permet à ces ouvriers 
particulier de prendre un autre job pendant ce temps. Il fait donc des missions 
d'intérim pendant ces 5-6 mois et atteint les 3000 € par mois en cumulant ses 
deux salaires.

Certes c'est un cas un peu exceptionnel, mais le salaire de l'IT est loin 
d'être mirobolant en comparaison.

Et pourtant on parle de Strasbourg, c'est pas non plus une zone sinistrée 
(Parlement Européen, grands groupes industriels, pôle économique actif, etc...).

Joël

-----Message d'origine-----
De : frnog-requ...@frnog.org<mailto:frnog-requ...@frnog.org> 
[mailto:frnog-requ...@frnog.org<mailto:frnog-requ...@frnog.org>] De la part de Colin 
J. Brigato
Envoyé : vendredi 2 juin 2017 09:31
À : Olivier Vailleau <olivier.vaill...@gmail.com<mailto:olivier.vaill...@gmail.com>>; 
frnog@frnog.org<mailto:frnog@frnog.org>
Objet : Re: [MISC] Re: [FRnOG] [JOBS] Ingénieurs et Consultants Réseaux 
(Avant-vente et Déploiement/Prestation)

Et on en revient donc à : je ne comprends pas comment justifier la
différence de salaire dans des jobs aussi bons candidats au télétravail. Ca
n’a pas de sens.
On a des chiffres “tangibles” de l’état du télétravail et de l’évolution
des offres d’emplois à ce niveau ?

(je m’en doutait un peu pour l’ouvrier, j’ai vraiment pris au hasard un
site un peu naze, en fait.)


On 2 June 2017 at 08:56:20, Olivier Vailleau 
(olivier.vaill...@gmail.com<mailto:olivier.vaill...@gmail.com>)
wrote:

Tout à fait d'accord pour les conditions de travail.. C'est plus facile
d'être assis dans un environnement calme (excepté les quelques intervenants
en salle machines) que de forcer dans la poussière d'un atelier bruyant.

Sinon, je persiste à montrer du doigt la différence entre paris et la
province.
Tes références salariales sont, je pense, encore très éloignées de la
province..
Un salaire de 3140€ pour un informaticien, c'est plutôt en fin de carrière
en province..
Quand à l'ouvrier, le salaire moyen sera plutôt de 1300€.. Si on me
proposait 1650€ Net pour aller en usine, je crois que je considérerait
sérieusement l'offre..

Certes, le coup de la vie n'est pas le même en province.

Mais tout cela pour dire qu'il n'y a pas beaucoup de taf proposé en
régions, et quand il y en a, c'est beaucoup moins bien payé qu'en région
parisienne.

Le 2 juin 2017 à 07:17, Colin J. Brigato 
<co...@brigato.fr<mailto:co...@brigato.fr>> a écrit :

Mea culpa, vision étriquée de parisien. Loin d’y être né ni d’y avoir vécu
plus d’un tier de ma vie, j’ai presque honte de cette présomption du coup.
Merci pour le coup sur la tête-rappel.

Ceci étant, du coup; j’ai du mal a saisir pourquoi une telle différence
entre la capitale et la province, pour des jobs qui cité sont pour pas mal
d’entre eux admissible au télétravail, fut-ce t’il total,quasi total ou
partiel.

Alors bon, même apres ce rappel, tout de même, la phrase :

[…] l'informaticien (ou le sysop ou le dev', etc.. ca dépend ) ne vit pas
beaucoup mieux que l’ouvrier […]

Sincerement ?
Salaire moyen d’un ouvrier : 1650e/mois (net avant I.R).
Salaire moyen d’un “programmeur / webmaster / Ingesys” : 3142e/mois (net
avant I.R).
Alors bon, il m’étonnerait que sur la capitale l’ont gagne assez pour, en
disparaissant de l’échantillon statistique, la moyenne tombe d’un seul coup
de 3142 a 1650…

C’est dommage, quand on a un bon argument, de le gâcher comme ça.

ah et ne parlons meme pas de la pénibilité au travail… entre informaticien
et ouvrier lequel est le plus pénible, je me permet d’avoir un pronostic en
lequel je suis plutot confiant, et indice, ca ne commence pas par info et
ca ne termine pas par ien.

- Colin J. βrigato -
¥ngénieur Σystème & Δirecteur de Projet
✆ 06 43 19 33 49

On 1 June 2017 at 22:50:47, Olivier Vailleau 
(olivier.vaill...@gmail.com<mailto:olivier.vaill...@gmail.com>)
wrote:

Je m'étrangle un peu en lisant les précédents messages qui insistent sur
le fait qu'on est dans une branche d'enfants gâtés :
- "... du manque je pense à certain(s) de se rendre compte de la chance
qui est en effet la nôtre dans cette branche."
- "Aujourd'hui nous avons la chance de pouvoir choisir dans notre branche
un travail/entreprise qui correspond à notre équation personnelle"
- "Mais ça c'est parce que nous avons tous de la chance dans notre secteur
de pouvoir faire ce choix."

En province, et loin des grandes agglomérations, l'informaticien (ou le
sysop ou le dev', etc.. ca dépend ) ne vit pas beaucoup mieux que
l'ouvrier, et surtout, il n'a pas le choix.

Peut-être que sur la région parisienne et les 5-6 autres grandes villes,
y'a de l'offre d'emploi à gogo, mais je peux vous assurer qu'en campagne,
ou disons plutôt en agglomération de taille modeste, il n'y a pas beaucoup
d'activité. De ce fait, les rares boites qui embauchent le font à un
salaire très proche du "minimum acceptable" si bien décrit précédemment.
Dans ce cas, le premier critère reste donc le salaire.
N'oublions pas que dans notre branche, l'offre d'emploi est
géographiquement très mal répartie. Et s'il n'y a pas de taf' nous
correspondant au salaire minimum décent, on change complètement
d’orientation, pour aller tondre des moutons, scotcher les carton d'Amazon
ou bien tenir la déchèterie du coin.

A titre d'expérience perso, j'ai quitté un poste de la fonction publique
hospitalière (j'étais fonctionnaire.. ouahou quelle chance !). Poste qui
était magnifique : Salaire convenable (je ne dirait pas décent, mais juste
convenable), environnement technique de ouf', beaucoup de projets
techniques intéressants, mais énormément de contraintes temporelles
(astreintes permanentes et usantes, fonctionnement 24/7), contraintes
fonctionnelles ( haute dispo du matos/logiciel et de l'humain ),
contraintes légales ( données médicales). J'ai donc quitté ce job. Et bien
je peux vous dire que pour trouver de quoi nourrir la famille, on
s’aperçoit vite qu'il n'y a pas beaucoup de recruteurs qui se chamaillent
dans le coin !! Et pour le coup, j'accepte un gap négatif, pasque sinon,
je suis bon pour apprendre à cultiver Bio.

Alors, oui, on est dans une branche plutôt dynamique (en tout cas, plus
que pour les soudeurs-fraiseurs), mais ce n'est pas tout le monde qui peut
se gargariser la bouche pleine.
Olivier


Le 1 juin 2017 à 03:55, Colin Brigato 
<co...@brigato.fr<mailto:co...@brigato.fr>> a écrit :

J'aurais du mal à produire plus éclairé que l'objectivité de raphael, et
si comme il le dit chacun possède ses propres barèmes je m'étonne quand
même grandement de voir chez certain le salaire si haut placé dans les
critères de choix : cela dénote du manque je pense à certain de se rendre
compte de la chance qui est en effet la nôtre dans cette branche.
Si l'on a en effet tous un salaire "minimum" dont nous tenons rigueur, eu
égard autant à notre niveau de vie/confort familial/obligation qu'importe,
passé cette barrière il deviens alors plutôt de bon gros dernier critère de
choix. On est quand même chez nous dans des salaires assez rapidement forts
voir très forts à comparer avec la mode et la moyenne française (oui) avec
des nécessité de diplômes et d'écoles de moins en moins fortes, au profit
des "profils" et des "autodidacte".
Tout un chacun "doué" et surtout passionné peut réellement aujourd'hui
faire sa vie et une _bonne_ vie de sa passion. C'est sensé être
exceptionnel, pourtant dans notre branche c'est semble t'il quasiment la
normale.
Moi ce qui m'embête un peu plus aujourd'hui ce sont certaines boîtes à
"RH 2.0" persuadés qu'ils vont pouvoir "lever du geek" avec des buzzword et
des promesses plus rigolotes les unes que les autres. Typiquement la boîte
qui cherche un "whatever avec ×Ops dedans", un langage un peu djeuns voir
trop des "vient chez nous ya UN baby foot et on est comme chez Google tu
fera même pas la différence", voir parfois ça vire en cacahuète avec
quasiment un "si intéressé merci d'envoyer un dessin au fusain de chien qui
représente pour vous l'esprit 3.0 de demain". J'exagère à peine. ON assiste
à une réelle recrudescence à la fois de génie commença surdité de ce côté
là, tout comme à l'essor des nouveaux chasseurs de têtes les plus étranges,
poussif, et aux situations de recrutement les plus rocambolesques.
Mais comme à mon habitude je dérive doucement mais sûrement vers le
[Misc] Et m'arrette ici avant le rappel à l'ordre... Ah je vois qu'on y a
déjà glissé, tout vas bien.

- Colin


Le choix d'un travail est nécessairement la combinaison de plusieurs
facteurs tel que le salaire, le temps de travail, l’intérêt du poste, la
localisation, l'ambiance de travail, les avantages (télétravail, CE,
etc...), le projet d'entreprise, etc...

Chacun je pense possède sa propre équation pour déterminer si tel ou tel
poste est intéressant et viable pour lui.

Aujourd'hui nous avons la chance de pouvoir choisir dans notre branche
un travail/entreprise qui correspond à notre équation personnelle.
Ce n'est pas le cas de tout le monde loin s'en faut, alors profitons en.

Personnellement je n'ai jamais mis le facteur salaire en 1er. J'ai
certes un seuil minimal et une cohérence à avoir, mais d'autres facteurs
sont tout aussi importants, voir plus.
(j'ai parfois fait des gap négatif par exemple)

Mon raisonnement est que ce qui me manque le plus c'est le temps.
Hors donc on consacre tous beaucoup de temps à notre job.
Il faut donc que je trouve du sens/plaisir à ce que je fais, sinon je
change. Et cela est principalement lié au projet/organisation de la
société, et la place que j'y prends. Le sentiment d’être vaguement
utile, de construite un minimum, et d'en retirer quelque chose (autre
que de l'argent).

Mais ça c'est parce que nous avons tous de la chance dans notre secteur
de pouvoir faire ce choix.



--
Raphael Mazelier


---------------------------
Liste de diffusion du FRnOG
http://www.frnog.org/

On 31 May 2017, 22:49, at 22:49, Raphael Mazelier 
<r...@futomaki.net<mailto:r...@futomaki.net>>
wrote:
La seule différence entre deux boîtes, c'est le salaire, et à la
marge
si les salaires sont comparables, les contraintes.
Les modes d'organisation aussi, l'ambiance dans l'équipe, un subset
de valeur commune avec l'objectif de la boîte.


Le choix d'un travail est nécessairement la combinaison de plusieurs
facteurs tel que le salaire, le temps de travail, l’intérêt du poste,
la
localisation, l'ambiance de travail, les avantages (télétravail, CE,
etc...), le projet d'entreprise, etc...

Chacun je pense possède sa propre équation pour déterminer si tel ou
tel
poste est intéressant et viable pour lui.

Aujourd'hui nous avons la chance de pouvoir choisir dans notre branche
un travail/entreprise qui correspond à notre équation personnelle.
Ce n'est pas le cas de tout le monde loin s'en faut, alors profitons
en.

Personnellement je n'ai jamais mis le facteur salaire en 1er. J'ai
certes un seuil minimal et une cohérence à avoir, mais d'autres
facteurs
sont tout aussi importants, voir plus.
(j'ai parfois fait des gap négatif par exemple)

Mon raisonnement est que ce qui me manque le plus c'est le temps.
Hors donc on consacre tous beaucoup de temps à notre job.
Il faut donc que je trouve du sens/plaisir à ce que je fais, sinon je
change. Et cela est principalement lié au projet/organisation de la
société, et la place que j'y prends. Le sentiment d’être vaguement
utile, de construite un minimum, et d'en retirer quelque chose (autre
que de l'argent).

Mais ça c'est parce que nous avons tous de la chance dans notre secteur

de pouvoir faire ce choix.



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