Le 21 mars 2013 à 14:42, Christian Pélissier <christian.peliss...@onera.fr> a 
écrit :

> 
> 
> 
>> svcadm justement abandonne ce système rustique au possible et peut utiliser 
>> des scripts, la nuance est de taille.
> 
> Voila la réalité très différente des affirmations gratuites.
> 
> …
> plein de blabla
> …

Dans les exemples que tu donne, il a une rafale de binaire directement lancé. 
Dans le lot je vois bien un paquet de binaire truc<d> (rcapd, zonestatd, picld, 
devfsadmd, wpad, proftpd, cups-lpd, bridged) qui ressemble bien à des démons. 
Faut pas juste éliminer ce qui te gène en faisant semblant de pas l'avoir vu.
Et pourquoi tu voudrais retirer tout ce qui n'est pas démon ? Auparavant 
c'était bien lancé par des shells, mais depuis SMF, il est plus facile de lui 
faire gérer ça, le tout shell était devenu une gène plus qu'une force.

> On attend donc Fabrice Bachella pour fiabiliser SMF et Solaris 11 en
> recodant tout en Python !!!

Pas la peine, ça a déjà été fait par Sun en C. Le cœur de la gestion des 
lancement de processus, la gestion des runlevel n'est plus du tout en shell, 
mais en C (ou C++, j'ai pas regardé les sources).
Il reste soit du code existant qu'il n'était pas la peine de recoder ou alors 
de la petite cuisine, pour lequel n'importe quoi est adapté. Pour coder 10 
lignes, bien évidement que shell reste utilisable.

Et tiens d'ailleurs, pour rebrancher dans les trucs fort et moderne de Solaris, 
SMF qu'est ce que c'est bien fait. Aucun autre OS n'a réussit à faire aussi 
bien.

> 
>> RHEL7 sera basé sur systemd.
> Peuh ! Tout le monde sait ça puisque RHEL 7 sera basé sur FEDORA 18 qui
> utilise systemd depuis FEDORA 14 !
> 

Ah ? Zut je croyais détenir un scoop.

> RIDEAU.

Oui rideau comme tu dis. Solaris n'est plus articulé autour du shell, et comme 
tu semble considérer que shell = unix, ben solaris n'est plus un unix.

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