Bonjour à tous,

Très intéressante discussion ... à laquelle je ne comprends pas tout. Ce qui me rassure, c'est que je ne suis apparemment pas le seul ;-)

Un point retient particulièrement mon attention : celui de la langue utilisée. Grâce à Sophie, j'ai appris qu'il existe une licence européenne dont toutes les traductions ont la même valeur juridique. Cependant, le plus souvent, c'est le texte anglais qui fait référence. Quand on n'est pas juriste professionnel et bilingue, on risque de se prendre les pieds dans les détails. Dans un autre contexte, vous connaissez sûrement le problème de la résolution 242 des Nations Unies suivant qu'on se réfère aux textes français ou anglais : "évacuation des territoires occupés" (sous-entendu, tous les territoires occupés) ou "évacuation de territoires occupés" (sous-entendu, certains territoires occupés). Dans le domaine qui nous intéresse, on n'a pas fini de faire couler de l'encre (et de la bière gratuite/libre) sur la traduction de "free". Ne pourrait-on pas imaginer que le mouvement libre utilise pour ses textes de références une langue libre, l'Espéranto ? Non seulement cette langue ne véhicule pas d'influence colonialiste mais en plus sa précision permettrait d'éviter les ambiguïtés des langues nationales. On pourrait d'ailleurs multiplier les parallèles : l'auteur de l'Espéranto a renoncé à ses droits, chacun peut l'utiliser librement sans payer de licence ...

Henri



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