Le 12 déc. 2010 à 20:54, Pierre Lagoutte a écrit :

> Bonsoir à tous.
> J'hallucine franchement que le cas (trivial) cité par Yohann suscite suscite 
> un thread aussi lourd (ce cas n'aurait-il pas été prévu ?)
> En tout ca la question est visiblement TRES bonne.
> Quand un flux sortant utilise un préfixe local ( fe80:: - c'est le plus 
> simple: pourquoi connaîtrait-il la part publique de son adresse v6) sur son 
> adresse source, le routeur de bordure (après sélection - load balancing - de 
> l'interface WAN de sortie) ne peut-il pas lui substituer le préfixe public de 
> cette interface ? plutôt que d'asséner la non-routabilité native de ce flux 
> sur l'Internet.
> ... je sais c'est du NAT, et donc quelque part Kriminel pour la communauté v6.
> mais ce serait tellement simple et transparent.
>         Pierre
> 
> noter que les "A6 records" du bind9 des DNS avaient été construits pour 
> dissocier la part privative de la part publique des adresses v6, mais ils 
> n'ont eu qu'un succès (même académique) super-limité.

En soi, le fait que l'on puisse à priori se passer du NAT me semble une bonne 
chose, surtout pour certains services. Mais j'avoue ne pas comprendre comment 
gérer simplement le multiWAN dans l'histoire.

Même avec les éléments de réponses apportés je me vois mal gérer des blocs PI + 
BGP pour des entreprises de moins de 10 personnes qui ont deux pauvres ADSL. Or 
elles ont le besoin du multiWAN… Actuellement on rencontre un vrai problème de 
fiabilité de la connexion chez les clients qui ne peuvent pas dépasser la 
centaine d'euros par mois de frais de connexion.

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